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Channel: JustCinema.net - le cinema/films pour les nuls - par Céline Crespin & Guillaume Faou
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Les méchants de Disney en parfums

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Avec Céline, on commence à être des experts de Disney et surtout des illustrations, peintures et autres formes d'art dérivées de cet univers magique. Après les princesses disney version Star Wars et les princesses disney en lingerie très sexy voici quelque chose de plus original... Des méchants sous la forme de flacons de parfums ! Franchement le rendu est génial. 

Gaston, Jafar, Scar, la Reine de Coeur, Ursula... tout le monde est là !

Cliquez sur les flèches pour dérouler les photos !

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Ma préférée c'est Gaston. Et vous ?


[concours] 5x2 places à gagner pour Jacky au Royaume des Filles

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2ème film du réalisateur Riad Sattouf qui avait fait un premier film très sympathique sur des ados boutonneux en chaleur (Les beaux gosses), Jacky au royaume des filles inverse un peu les rôles du monde pour mettre les femmes au pouvoir et les hommes derrière un voile (et les fourneaux).

Avec un casting au top (Didier Bourdon, Anémone, Charlotte Gainsbourg...) on a hâte de découvrir ce film qui sort le 29 janvier en France.

[concours] 5x2 places à gagner pour Jacky au Royaume des Filles

Synopsis : En république démocratique et populaire de Bubunne, les femmes ont le pouvoir, commandent et font la guerre, et les hommes portent le voile et s’occupent de leur foyer. Parmi eux, Jacky, un garçon de vingt ans, a le même fantasme inaccessible que tous les célibataires de son pays : épouser la Colonelle, fille de la dictatrice, et avoir plein de petites filles avec elle. Mais quand la Générale décide enfin d’organiser un grand bal pour trouver un mari à sa fille, les choses empirent pour Jacky : maltraité par sa belle-famille, il voit son rêve peu à peu lui échapper...

On vous propose de gagner 5x2 places pour aller voir Jacky au royaume des filles.

Pour participer, rien de plus simple, il vous suffit de répondre aux 2 questions suivantes dans un commentaire sous l'article :

Question 1 :  Comment s'appelle l'acteur qui joue Jacky ?

Question 2 :  Quel réalisateur français (The Artist, OSS 117) fait aussi partie du casting ? 

 

Vous avez jusqu'au mercredi 22 janvier 2014 minuit pour jouer, nous ferons ensuite un tirage au sort et contacterons les gagnants ! * Limité à la France Métropolitaine // ** N'oubliez pas que les réponses peuvent se trouver dans cet article // *** Indiquez bien une adresse mail valide dans le formulaire du commentaire afin que nous puissions vous contacter si vous êtes l'un des grands gagnants.

 

[BONUS] Multipliez par 2 vos chances de gagner au tirage au sort en likant la page Justcinema (www.facebook.com/Justcinema)... puis en indiquant vos pseudos (twitter et/ou facebook) dans votre commentaire afin qu'on vous reconnaisse !

L'origine des noms connus au cinéma

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Ah les noms. Qui ne connaît pas Indiana Jones ? Qui ne sait pas que Luke Skywalker est un personnage de Star Wars ? Voici comment certains des noms les plus cultes du cinéma ont vu le jour !

L'origine des noms connus au cinéma

Indiana Jones devait au départ s'appeler Indiana Smith. Le prénom du héros vient du nom du chien de George Lucas quant à son premier nom de famille, il est inspiré du personnage de Nevada Smith interprété par Steve McQueen dans le film du même nom. Son nom changea en Jones le premier jour de production. George Lucas fait un clin d'oeil à cette anecdote dans Indiana Jones et la dernière croisade, où le père d'Indy (Sean Connery) révèle que le vrai nom de l'aventurier est Henry Jr. mais qu'il préfère l'appeler Indiana qui est aussi le nom de son chien.

Bryan Singer est un réalisateur intelligent. Il a nommé le personnage principal de "Usual Suspects" Verbal Kint car il parle beaucoup. Son interprète Kevin Spacey explique même dans le film qu'il parle tout le temps. Mais le plus fort dans l'histoire, c'est que le nom du grand méchant du film, Keyser Soze est un indice sur la fin du film ! En effet, dans le film on dit que le tueur sanguinaire a une mère turque et un père allemand. Or "Kaiser" veut dire "empereur" en allemand et "sözel" désigne quelque chose de verbal en turc. Keyser Soze signifie donc "l'empereur du verbal", on sait donc que ce dernier et Verbal Kint sont la seule et même personne. Ingénieux non ?

L'origine des noms connus au cinéma

Chuck Palahniuk, auteur de Fight Club, a appelé son héros Tyler Durden en hommage à Toby Tyler, personnage principal du film de 1960 Le Clown et l'Enfant et à un homme avec lequel il a travaillé qui s'appelait Durden et qui fut viré de son travail après avoir été accusé d'harcèlement sexuel.

Rocky Balboa n'est pas le véritable nom du boxeur culte interprété par Stallone. Son prénom est Robert et il prend le surnom de Rocky en l'honneur de Rocky Marciano, boxeur américain des années 50. 

Le nom Rambo vient d'une variété de pommes américaines du même nom.

George Lucas au eu l'idée du nom R2-D2 durant la post-production du film American Graffiti en 1973. Un des membres de l'équipe en charge du son voulait que Lucas récupère la bobine 2 (Reel #2 en anglais) pour travailler sur le second dialogue de la scène (Dialogue 2 ==> D2). Donc en langage technique, il a demandé à Lucas le "R2-D2" et ce dernier a aimé le son de cet acronyme et le nota pour l'utiliser plus tard.

L'origine des noms connus au cinéma

Continuons sur Star Wars. Le nom original du personnage principal était Luke Starkiller et quand l'équipe commença à tourner le film en Tunisie, c'était toujours le cas. Plus tard, quand le tournage arriva dans les Studios Elstree à Londres, Lucas décida de changer pour Skywalker. Ce n'était pas un problème puisque le nom de famille de Luke n'avait pas été utilisé dans les séquences déjà tournées.

Oliver Stone, scénariste de Scarface, a appelé le héros Tony Montana en hommage à son joueur de football américain préféré, Joe Montana. Il a gardé le surnom du personnage du Scarface de 1932, Tony.

Le nom Micheal Myers, le psychopathe culte d'Halloween, a été choisi pour honorer la société MGM (Metro-Goldwyn-Mayer), qui a distribué le film Assaut de Carpenter en Europe et qui a permis au film de connaître un certain succès sur le vieux continent. Oui le réalisateur remercie bizarrement ses collaborateurs.

Le nom complet de Chucky est Charles Lee Ray, un condensé de noms de trois tueurs connus : Charles Manson, Lee Harvey Oswald et James Earl Ray.

L'origine des noms connus au cinéma

Le nom de Max Rockatansky ou Mad Max (interprété par Mel Gibson) est une référence à Carl von Rokitansky, un pathologiste du 19ème siècle célèbre pour la procédure Rokitansky, la méthode la plus commune pour retirer les organes internes d'un sujet lors d'une autopsie.

Marty McFly, héros des Retour vers le futur, devait s'appeler Marty McDermott. Mais le réalisateur Robert Zemeckis trouvait que son nom avait trop de syllabes et eu l'idée de McFly.

Les noms des trois personnages principaux de Pirates des Caraïbes sont liés aux oiseaux. Jack Sparrow (sparrow = moineau), Elizabeth Swann (swan = cygne) et William Turner, qui était un ornithologue et un botaniste anglais du 16ème siècle.

Des acteurs connus en héros Marvel

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L'artiste Alex Tuis a imaginé des acteurs connus sous les traits de super-héros de chez Marvel. Il précise qu'il a toujours voulu voir des films Marvel étant enfant et que maintenant que ces héros envahissent le grand écran, il présente son casting de rêve. Le résultat est réussi !

Voici dans l'ordre Colossus, Wolverine, Spider-man, Thor, Tornade, Iron Man, Charles Xavier, Hulk et Captain America.

(cliquez sur les images pour les agrandir)

Des acteurs connus en héros Marvel
Des acteurs connus en héros Marvel
Des acteurs connus en héros Marvel
Des acteurs connus en héros Marvel
Des acteurs connus en héros Marvel
Des acteurs connus en héros Marvel
Des acteurs connus en héros Marvel
Des acteurs connus en héros Marvel
Des acteurs connus en héros Marvel

J'ai une petite préférence pour Rutger Hauer en Thor et Schwarzy en Colossus. Et vous ?

[Critique] La Belle et la bête 2014, le film très décevant...

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Si d'habitude on me traite de bisounours parce que je fais souvent des critiques élogieuses, rassurez-vous, celle ci va équilibrer rapidement la balance. Déçue... C'est le mot qui résume bien mon sentiment en sortant de la projection de "La Belle et la bête", le dernier film de Christophe Gans avec Vincent Cassel et Léa Seydoux... Je suis partie sans apriori, j'avoue que la bande-annonce ne m'avait pas plus séduite que ça mais la curiosité l'a emporté car personnellement j'adore ce conte, ce Disney et surtout le film avec Jean Marais. Mais après 2h de film, l'adaptation de Christophe Gans n'a rempli AUCUNE de mes 5 attentes... Retour en détails sur cette déception !

[Critique] La Belle et la bête 2014, le film très décevant...

1. L'univers

L'avantage avec cette histoire c'est qu'on la connait tous plus ou moins en détails : un prince subit une malédiction à cause de sa "méchanceté", il est transformé en bête et seul l'amour pourra le faire redevenir humain. De l'autre côté, une fille de marchand échange se sacrifie pour sauver son père de la bête et vient habiter avec lui dans son château. S'en suit alors la naissance d'une histoire d'amour, puis elle le sauve. Voilà, pas de gros spoiler en vue, c'est comme si je vous disais qu'à la fin de Titanic, le bateau coule ;-)

Donc on attendait d'abord une mise en situation des personnages : qui est Belle, son père et comment le Prince est devenu une bête. Malheureusement, on rame pendant au moins 40 longues minutes si ce n'est plus, avant d'en arriver au sacrifice de Belle. Trop d'informations sur sses frères et soeurs, la perte de leur argent, leur exil à la campagne etc... On s'ennuit déjà sur des "détails" qui sont peu attractifs.

Ensuite, on attendait des décors et des costumes : là le contrat est rempli ! Les robes de Belle sont superbes et digne de la fortune du Prince. Les autres costumes sont correct et ne détonnent pas donc aucun souci. Quant aux décors, bien que jolis et très détaillés, je les ai trouvé un peu trop "fond vert/fond bleu", trop d'ajout par ordinateur... et si ce n'est pas le cas, c'est clairement l'effet que ça donnait. Certains décors faisaient plus féérie d'une animation que d'un film, j'ai trouvé ça dommage car cela tue le côté "réaliste" que j'attendais. Mais ce n'est peut-être pas étonnant quand on sait que Christophe Gans le réalisateur est fan de Miyazaki !

[Critique] La Belle et la bête 2014, le film très décevant...

2. Le jeu des acteurs

Ah, les acteurs ! J'en citerais 4 : Léa Seydoux (Belle), Vincent Cassel (la bête, Prince), André Dussolier (le père de Belle) et Audrey Lamy (une des soeurs de Belle). Sur les 4, j'en adore 3... et TOUS m'ont déçue...

> Léa Seydoux est quasiment mono-expression pendant tout le film, je n'ai vu qu'un soupçon de peur pendant quelques secondes à un moment mais rien d'autre et c'est probablement ce qui m'a le plus déçue. Belle est censée être battante, romantique, forte, passionnée, très vivante, un brin provocatrice mais en aucun cas coincée du cul et silencieuse... Je n'ai trouvé aucune malice de mon héroine dans son jeu d'actrice :(

> André Dussolier est un grand acteur français, que l'on aime ou pas, il faut lui reconnaître ce talent. Mais là... que se passe-t'il ? D'abord un marchand puissant qui perd toute sa fortune et se retrouve désormais pauvre... j'attends toujours de me sentir mal pour lui et d'avoir pitié de sa déchéance car ça n'a pas crevé l'écran. Quant à son amour pour sa fille préférée, à part 2 bisous sur le front et une voix off qui nous dit "Belle est sa fille préférée", ça ne vous tire pas de "oh, c'est mignon l'amour d'un père". Même lorsque Belle se sacrifie, on voit à peine sa réaction (la caméra faisant un plan large sur ses deux fils qui le retienne de courir après Belle)... 

> Audrey Lamy : là je dis non ! J'aime énormément cette comédienne. Drôle, étonnante, plein de potentiel, jouant une des soeurs cul-serré de Belle, elle pouvait se faire plaisir. Mais là, on la retrouve en petite hystérique déjà vue mille fois dans "Scènes de ménage" aux expressions de visage et dédain déjà vu dans "Tout ce qui brille"... Déception de la voir dans un rôle qui ne la change pas de d'habitude.

> Vincent Cassel, notre bête, notre Prince. J'avoue qu'il est difficile d'imaginer un autre acteur jouer ces deux facettes mais à part quelques minutes (précieuses) où on le voit en Prince (logique c'est la Belle et la BETE, pas "et le PRINCE") où on peut admirer son charisme et son vrai jeu d'acteur, le reste sera aussi une déception. A l'instar du maquillage de Jean Marais, son masque de bête a été entièrement fait en post-production (par ordinateur) et malheureusement... ça se voit beaucoup ! Et s'en est même glauque. La bouche m'a énormément gênée, malsaine, mal faite à mon goût, cassant toute expression de l'acteur. Et puisqu'on voit rarement ses yeux (alors que c'est la seule chose que le Prince a normalement gardé en devenant bête), on ne peut pas se rattraper sur les regards... Bien dommage !

[Critique] La Belle et la bête 2014, le film très décevant...

3. La réalisation

Des ralentis, encore des ralentis, toujours des ralentis et des plans larges. Si on connait un peu les films de Christophe Gans ("Le pacte des loups" pour n'en citer qu'un), on sait comment il réalise. Et si ça ne m'a jamais dérangée avant, dans "La Belle et la bête", ça me gêne beaucoup.

Ok il y a des décors donc plans larges de rigueur, mais adieu les expressions des personnages. Ok la scène de Belle sur le lac gelé est très jolie mais adieu l'ampathie de son angoisse. Ok la bête se déplace vite et c'est un univers féérique donc on peut jouer sur les mouvements de caméras et les ralentis mais adieu tout suspens dans les scènes de colère ou de poursuite... 

Bref, là où le festival de la Berlinale a vu peut-être du génie dans la réalisation (avec pas moins de 9 nominations), j'ai vu un film de loin...

PS/ Par contre, il y a de nombreux flash-backs qui expliquent comment le Prince est devenu la bête et j'ai beaucoup aimé ce parti pris du réalisateur. Bien plus intéressant qu'une simple histoire en frise chronologique ! 

[Critique] La Belle et la bête 2014, le film très décevant...

4. L'histoire d'amour

On est bien d'accord que le coeur même de ce conte est une histoire d'amour non ? Entre une Belle et une bête ? Bon alors... OU EST MON HISTOIRE D'AMOUR ? Que la bête tombe amoureux de la Belle au bout de 10 secondes, ça c'est évident, même un peu trop : ok on comprend qu'il est tout seul et qu'elle est l'unique chance qu'il s'en sorte mais bon, quand même, maîtrise toi mon gars ! Par contre, que Belle tombe amoureuse de la bête, alors là, j'attends toujours de voir les sentiments et les expressions. 

Je voulais du rêve, de l'angoisse, des sentiments naissants, du respect, de la tendresse... et je n'ai RIEN ! Même avec beaucoup de concentration, je n'ai vu aucune évolution dans le rôle de Belle et de l'histoire d'amour.

Dès le début, Belle fera la fille forte qui se méfie à peine de la bête et qui le provoque. Dès le début, la bête imposera sa grosse voix en lui disant "vous êtes ma prisonnière, vous ne m'impressionnez pas". Mais à part une petite larme de la part de Belle et une phrase "Si vous ne revenez pas, j'en mourrais" de la part de la bête, il n'y a AUCUNE émotion entre les deux... Alors que Cassel s'en sort très bien en Prince dans les flash-back avec l'actrice Yvonne Catterfeld...

[Critique] La Belle et la bête 2014, le film très décevant...

5. La bande originale

Bon ben... inexistante. Je n'ai rien entendu qui m'ait fait frissonner, tendre l'oreille ou me dire "ah tiens, je vais la chercher sur itunes ou Spotify en sortant". 

A savoir que la chanson du générique de fin est interprétée par Yoann Fréget, le gagnant de The Voice 2, mais là encore, ce titre ne m'a tiré aucune émotion... Moi que l'on dit très émotive dans les films d'amour et pour leur musique, on repassera !

 

Note finale : 3/10

 

Bref, vous l'avez compris, je n'ai pas aimé, j'ai même été très déçue. Cela m'a donné envie de revoir le dessin animé de Disney dès la sortie afin d'avoir amour, joie et frissons liés à cette histoire. Mais en sortant de la projection, j'entendais beaucoup de débat : certains criaient presque au génie artistique et la direction d'acteur tandis que d'autres pensaient comme moi et étaient même plus virulents... Comme quoi, les goûts et les couleurs ;-)

[critique] Her... on a trouvé mieux que Siri.

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4ème film du réalisateur Spike Jonze (Max et les maximonstres, Dans la peau de John Malkovich), Her raconte l'histoire de Theodore Twombly, un mec attachant, sensible et un peu paumé, dont la vie va être bouleversée après l'achat d'un programme, baptisé Samantha, capable de s'adapter à sa personnalité. 

[critique] Her... on a trouvé mieux que Siri.

Que c'est beau

 

Le monde futuriste dans lequel se déroule l'histoire est vraiment beau et très travaillé, et pour une fois cela donne envie de vivre assez longtemps pour avoir une chance de connaître ne serait-ce qu'une infime partie de ce monde. Les machines ne se sont toujours pas révoltées et aident les humains à vivre plus confortablement. Les gens sont gentils, rivés sur leurs appareils certes (comme maintenant) mais capables de parler les uns avec les autres. La ville (ici Los Angeles) est magnifique : bâtiments épurés, couleurs chaudes... ça fait rêver ! En parlant de couleurs chaudes, le réalisateur use et abuse du rouge dans le film, ce qui donne une identité visuelle assez unique, et qui renforce l'ambiance chaleureuse générale.

Lors du tournage, le réalisateur précise qu'il a essayé d'éviter le fond vert au maximum pour privilégier des décors réels et travailler avec de la lumière naturelle. Le résultat est sans appel : c'est beau. 

Mais ce n'est pas que la vue qui est flattée dans le film, c'est aussi l'ouïe. La musique envoûtante d'Arcade Fire accentue la poésie ambiante. 

[critique] Her... on a trouvé mieux que Siri.

Une complicité touchante

 

Joaquin Phoenix prouve une fois encore qu'il n'a pas perdu son talent, même après son nervous breakdown qui l'a transformé en chanteur de rap. Particulièrement touchant, on découvre un personnage sensible, attachant, profondément triste et seul suite à son divorce, mais avec un grand coeur et une âme de poète. C'est vraiment le type de personnage que l'on veut voir être heureux. Et sa rencontre avec Samantha (Scarlett Johansson) va tout changer. Les yeux tristes du début font place à des sourires lors des conversations avec ce programme si singulier.

Avec Samantha, Theodore va redécouvrir ce que c'est de s'émerveiller des choses simples, il va trouver une oreille compatissante pour parler de ses problèmes, de ses doutes. C'est une véritable histoire d'amour qui naît devant le spectateur entre un homme et une machine. Et même si on ne voit pas Scarlett, c'était un choix judicieux de prendre l'actrice pour sa voix qui est probablement la plus sexy et sensuelle du cinéma. Et on sent vraiment la complicité entre les deux acteurs, fondamentale pour l'histoire. C'est un véritable tour de force car l'exercice ne devait pas être évident.

Les seconds rôles sont de taille (Amy Adams, Rooney Mara), mention spéciale à Chris Pratt que l'on voit peu mais que j'adore depuis l'excellente série Parks and Recreation et qui sera bientôt plus connu du grand public grâce à son rôle dans Les Gardiens de la Galaxie.

[critique] Her... on a trouvé mieux que Siri.

Conclusion

 

Attachant, poétique, beau, touchant... Her est une petite perle qui réchauffe le coeur. À savourer à partir du 19 mars.

 

Note finale : 8,5/10

[critique] The Grand Budapest Hotel

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Nouveau film de Wes Anderson (Moonrise Kingdom, La Vie aquatique), The Grand Budapest Hotel raconte les aventures de Gustave H (Ralph Fiennes) et de son fidèle allié Zéro Moustafa (Tony Revolori) à la suite d'un héritage familial qui posera de très nombreux problèmes. 

[critique] The Grand Budapest Hotel

La magie Anderson

 

Wes Anderson est un réalisateur avec une réelle vision artistique, un univers singulier à lui. Comme Tim Burton à l'époque où il était bon. Si on adhère à cette poésie un peu loufoque, The Grand Budapest Hotel ne déçoit pas. Après une aventure enfantine avec Moonrise Kingdom, le réalisateur nous propose une histoire un peu plus sombre sous fond de guerre.

À travers Gustave H. on découvre un monde qui change, un monde qui devient plus noir où des valeurs essentielles sont oubliées. Ce personnage est haut en couleur : raffiné à tel point qu'on le pense efféminé, il est aussi capable de se montrer très viril. Il a un penchant pour les femmes âgées et pour la poésie. Ralph Fiennes est formidable dans ce rôle. C'est la première fois qu'il tourne avec Wes Anderson mais il rentre parfaitement dans son univers.

La magie Anderson repose aussi sur la bande originale, qui est ici enchanteresse, et les décors. On se retrouve dans un pays européen fictif : Zubrowka. Entre décors qui rappellent le théâtre et techniques d'animations comme le stop-motion en passant par des maisons somptueuses, le film est un melting pot savoureux de genres.

[critique] The Grand Budapest Hotel

Une flopée de talents

 

Comme toujours chez Anderson, il y a beaucoup de personnages, tous très originaux, qui renforcent la singularité du monde fictif imaginé par le réalisateur. Et il s'entoure d'acteurs devenus amis (Bill MurrayEdward Norton, Jason Schwartzman) mais aussi de Adrien Brody, Willem Dafoe, Jeff Goldblum ou Harvey Keitel. Bref du lourd. Malheureusement, on ne les voit pas tous autant qu'on le souhaiterait, mais on pardonne volontiers au réalisateur, puisque c'est assez compliqué de donner autant de temps de parole à chacun sans faire un film de 5h. 

Parmi les personnages géniaux on citera Jopling (Dafoe) avec son look metalo-gothico-militaire et le charisme légendaire de l'acteur pour faire des méchants, Agatha (Saoirse Ronan) douce jeune fille courageuse avec un talent pour la pâtisserie et évidemment Zero (Tony Revolori) l'assistant et apprenti de Gustave H. fidèle et intrépide. 

[critique] The Grand Budapest Hotel

Conclusion

 

Avec The Grand Budapest HotelWes Anderson réussit une fois de plus à nous transporter dans son univers singulier. Quand on sort de la salle, il faut un temps pour revenir à la réalité tellement le voyage fut intense. À la fois drôle avec de l'aventure et des rebondissements, sombre et mélancolique à cause de cette description d'un monde qui change, parfois trash et toujours très poétique, le réalisateur montre encore sa vision complexe et unique du monde, où tout n'est pas noir ou blanc.

 

Note finale : 8,5/10

Isamuse : la reine des quiz cinéma sur Paris !

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Certains d'entre vous la connaissent déjà, d'autres pas encore. Isabelle Terrisol aka "Isamuse" organise régulièrement des soirées-quiz sur Paris. Au programme, une soirée très bien organisée, dans un resto-bar réservé, un écran, une sono, des buzzers, des fiches pour répondre aux questions, une conso comprise dans le prix (15€), des lots à gagner et une très bonne ambiance !

Avec Guillaume, notre thématique préférée est bien sûr : le cinéma ! Après avoir tenté un quiz ciné "normal" (et s'être fait rétamé en 4e position par des questions vieux films), on a décidé de re-tenter notre chance pour le "Spécial séries et films US" de jeudi 13 mars !

Isamuse : la reine des quiz cinéma sur Paris !

Dispo ce soir là ? Envie de passer une bonne soirée ? Réunissez 3 ou 4 copains max, achetez vos places sur www.isamuse.fr ou directement sur la billeterie en cliquant ici ! Venez nous défier, on a peur de rien !


Le cinéma arrive dans votre salon

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Le cinéma arrive dans votre salon

Avec Céline, nous sommes confrontés à un problème majeur : nous n'avons pas assez d'argent pour installer une mini salle de cinéma chez nous. En même temps, vu la taille de nos appartements respectifs, ça risque d'être compliqué. Comment alors profiter des films cultes que l'on adore tout en ressentant les émotions que l'on a dans une salle obscure ? 

J'ai eu la chance de tester de nombreux produits Sony et j'avoue que j'ai toujours aimé la qualité d'image du televiseur de l'entreprise. Moi qui déteste la 3D au cinéma par exemple, j'avais quand même tenté l'expérience avec une télé 3D Sony. C'était avec un bluray de Le Monde de Narnia : L'Odyssée du Passeur d'Aurore et même si le film est nul, j'avais été assez surpris de la netteté des images et de la clarté générale. Alors qu'au cinéma, les lunettes assombrissent abusivement le film.

J'avais aussi regardé une partie du film Les Aventures de Tintin : Le Secret de la Licorne avec un  Home Cinema 5.1 de Sony. J'ai retrouvé en partie les sensations que j'avais eu quand j'étais allé le voir au cinéma. C'est vraiment agréable car faute d'une salle privée, et même si un 5.1 prend de la place, on sent que la frontière entre le cinéma et le televiseur devient de plus en plus fine. Pour un fan comme moi, c'est important !

Revoir Le Seigneur des Anneaux ou Jurassic Park sur un bel écran avec un beau son c'est le rêve ! Je retombe en enfance direct avec ça. Je me souviens de l'époque où j'arborais fièrement ma VHS de la Communauté de l'Anneau que je regardais tous les mois sur ma vieille télé. C'était sympa mais il n'y a pas photo, quand j'ai eu le bluray version longue que j'ai lancé sur mon bel  écran plat, j'ai vibré au rythme des têtes d'orcs découpés par Aragorn and co, avec l'excellente musique d'Howard Shore... Bref je m'emballe, comme à chaque fois que je parle de ce film.

Le cinéma arrive dans votre salon avec Sony

Et désormais, il y a un truc encore plus fou qui arrive pour les fans de ciné : la TV 4K. 4K car quatre fois plus de détails que la Full HD. Là c'est la Rolls-Royce des téléviseurs. J'ai aussi eu la chance de voir la TV 4K de Sony, c'est complétement fou. Je veux voir le Seigneur des Anneaux dessus, ça doit être démentiel. Les couleurs, les contrastes, le son... C'est totalement immersif, on n'oublie tout le reste et on se laisse emporter. La première fois qu'on a la bête devant les yeux, c'est un peu comme la première fois que l'on voit Avatar au cinéma en 3D : on a l'impression qu'une nouvelle ère commence dans le domaine de la technologie de l'image notamment grâce à la technologie Triluminos et du son. Bon pour l'instant ce n'est pas dans mes moyens mais c'est clairement dans mes projets d'acquérir cette télé.

Bref tout ça pour vous dire que l'avenir pour les amateurs de 7ème art est radieux, et si vous avez l'occasion d'aller tester la TV 4K, foncez ! 

Et voici une petite infographie pour vous montrer que même si le passé c'est bien, le présent est encore mieux !

Téléviseur: Passé vs Présent - Infographie
Cette infographie vous est proposée par Sony

*Article sponsorisé*

[Critique] Captain America 2... grosse déception

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3ème film post Avengers après Iron Man 3 et Thor 2, nous attendions vraiment les nouvelles aventures du capitaine Steve Rogers tant les films cités ci-dessus ne nous avaient pas vraiment convaincus alors que nous avions été emballés par Avengers. Malheureusement, c'est la catastrophe.

[Critique] Captain America 2... grosse déception

Si Captain America est divertissant, il est truffé de défauts plus ou moins pardonnables.

Comme souvent dans les films américains, le casting des français est raté. Et cet opus ne manque pas à la règle : les terroristes français au début du film sont ridicules, et je ne parle même pas du chef censé être badass qui a un vieil accent québécois. Fou rire de l'audience.

On pardonne volontiers cette erreur puisqu'on a bien rigolé par contre le fait que le scénario est totalement vide et en manque d'inspiration gâche tout le film. Des rebondissements qui n'en sont pas, des intrigues que l'on voit venir à 1000 km et une histoire vue et revue de l'institution en danger de l'intérieur où une poignée de membres fidèles font le nécessaire pour sauver la situation. A Hollywood, c'est vraiment LA solution pour les scénaristes qui ne savent pas quoi raconter. On a vu ce genre de film des dizaines et des dizaines de fois et Captain America n'apporte rien de neuf. 

Le film se veut un hommage aux films d'espionnage mais là c'est du foutage de gueule. Tout est prévisible à part l'identité de l'ennemi principal de Captain America, sauf évidemment quand on connait les comics. Il n'y a pas d'enjeux, aucune empathie, rien dans l'histoire ne donne envie de vibrer ou de se soucier de l'avenir des personnages. On sait très bien comment ça va finir et ce qu'ils vont devenir. 

[Critique] Captain America 2... grosse déception

Les personnages et les dialogues sont plutôt creux. L'exemple parfait est Sam Wilson/Le Faucon qui est le cliché du sidekick black, marrant et fidèle. C'est navrant de voir cela sur un film Marvel en 2014. Steve Rogers est beaucoup moins intéressant dans ce film que dans ses précédentes aventures en solo, où on voyait un homme faible mais courageux, héroïque dans tous les sens du terme. Les conversations entre Steve et la Veuve noire sont inintéressantes au possible, en mode "hey l'infirmière elle te fait de l'oeil". 

Quant à l'action, il y a en a et c'est parfois agréable. Dommage qu'on ne puisse pas pleinement en profiter à cause de la caméra qui bouge dans tous les sens et qui fout la gerbe...

Enfin, c'est toujours incompréhensible de ne pas voir les autres Avengers... Dans Thor 2 ça passait puisque l'ami blond est un peu seul sur Asgard, mais là le SHIELD est menacé et personne n'intervient ! Pire, nos héros ont besoin de lire une clé USB cryptée et ils vont à l'Apple Store plutôt que chez Tony Stark !! Alloooo ?!

Bon parfois c'est drôle.

[Critique] Captain America 2... grosse déception

Conclusion

 

Cousu de fil blanc, globalement inutile, il faut vraiment que Marvel redresse la barre pour continuer à nous faire rêver comme à la grande époque. Avengers 2 et Gardiens de la Galaxie, vous êtes mes seuls espoirs !

 

Note finale de Guillaume : 4,5/10

[critique] Divergente

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[critique] Divergente

Ce film est tellement merdique qu'il ne mérite même pas qu'on lui accorde du temps pour une critique.

Rendez-moi mes 2h19 de vie perdues à jamais.

 

Note finale : 0/10

[concours] 2 DVDs de la Reine des Neiges à gagner

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[concours] 2 DVDs de la Reine des Neiges à gagner

"Let it go, let it goooooooo..." 

Ah ce nouveau film de Disney était vraiment bien, et il a été apprécié ! La Reine des Neiges est en effet le plus gros succès d'animation de tous les temps et il a remporté 2 oscars. 

Pour rappel, le synopsis : "Anna, une jeune fille aussi audacieuse qu’optimiste, se lance dans un incroyable voyage en compagnie de Kristoff, un montagnard expérimenté, et de son fidèle renne, Sven à la recherche de sa soeur, Elsa, la Reine des Neiges qui a plongé le royaume d’Arendelle dans un hiver éternel... En chemin, ils vont rencontrer de mystérieux trolls et un drôle de bonhomme de neige nommé Olaf, braver les conditions extrêmes des sommets escarpés et glacés, et affronter la magie qui les guette à chaque pas..."

[concours] 2 DVDs de la Reine des Neiges à gagner

A l'occasion de la sortie du film en Blu-Ray 3D, Blu-Ray, DVD et VOD le 4 avril, nous vous proposons de gagner 2 DVDs de la Reine des Neiges.

Pour participer, rien de plus simple, il vous suffit de répondre aux 2 questions suivantes dans un commentaire sous l'article :

Question 1 : Comment se nomment les deux sœurs ?

Question 2 : Quel animal est le fidèle compagnon de Kristoff ?

 

Vous avez jusqu'au lundi 14 avril 2014 minuit pour jouer, nous ferons ensuite un tirage au sort et contacterons les gagnants ! * Limité à la France Métropolitaine // ** N'oubliez pas que les réponses peuvent se trouver dans cet article // *** Indiquez bien une adresse mail valide dans le formulaire du commentaire afin que nous puissions vous contacter si vous êtes l'un des grands gagnants.


[BONUS] Multipliez par 2 vos chances de gagner au tirage au sort en likant la page Justcinema (www.facebook.com/Justcinema)... puis en indiquant vos pseudos (twitter et/ou facebook) dans votre commentaire afin qu'on vous reconnaisse ! 

 

©2014 Disney

[critique] 47 ronin

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Après le Dernier Samouraï avec Tom Cruise, voici une nouvelle histoire de japonais à sabre passée sous le filtre occidentale. 

Keanu Reeves interprète un demi sang (comprendre moitié orient moitié occident) à l'époque féodale du Japon, rejeté par le clan qui l'a accueilli mais qui va se battre aux côtés de ses membres quand leur maître est assassiné par un seigneur adverse. 

[critique] 47 ronin

Qu'est-ce que c'est plat

 

L'investissement des acteurs est au plus bas dans 47 Ronin. Ils donnent l'impression pendant tout le film qu'ils ne sont pas impliqués, qu'ils n'y croient pas. La production tendue et le tournage chaotique y sont certainement pour quelque chose. Keanu nous fait la tête de Clooney dans Batman & RobinHiroyuki Sanada, abonné aux guerriers japonais dans les films, se contente du minimum, et le méchant est totalement anecdotique.

Concernant l'histoire, ultra célèbre au Japon, c'est du basique : de l'honneur, de la vengeance... C'est déjà vu. Franchement, ça aurait pu passer mais si les acteurs n'y croient pas, comment le spectateur peut le faire ?

Enfin, les dialogues c'est un désastre. En mode vieille comédie romantique ou en mode film d'action/aventure de seconde zone, c'est chiant. 

[critique] 47 ronin

C'est plutôt beau

 

Niveau effets spéciaux/univers c'est pas mal. A part le fait que les décors chez les gentils sont beaux, lumineux et joyeux et que chez les méchants c'est sombre, froid et austère (cliché quand tu nous tiens), le film est plaisant à regarder. Les créatures mystiques sont travaillées, certains lieux ont une ambiance très poétique (la forêt hantée) vraiment agréable et l'environnement est varié. 

Le combat final est assez mou mais globalement les autres sont corrects voire soignés pour certains. C'est tout de même important pour un film de samouraï !

Enfin, la musique est, comme le jeu d'acteur, anecdotique.

Je précise quand même qu'une des preuves du vide scénaristique dans ce film se trouve dans les affiches où l'on voit Rick Genest (le mec tout tatoué) à côté des personnages principaux alors que dans le film on le voit environ 40 secondes. C'est ça quand on n'a rien à raconter.

[critique] 47 ronin

Conclusion

 

Ce film n'a pas que des défauts mais il est globalement très chiant. Les problèmes lors de la production et du tournage ont condamné 47 Ronin. On ne s'attache pas vraiment aux ronins, ni au personnage de Keanu Reeves puisque les acteurs eux-mêmes n'y croient pas. Du coup l'immersion est impossible malgré un univers plutôt agréable.

 

Note finale : 5/10

Les opérations marketing des sorties de films

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Lorsque j'ai officiellement commencé à travailler dans le web en 2006, les blogueurs étaient encore des phénomènes étranges et nouveaux qui débarquaient dans le monde des média. Les journalistes ne nous prêtaient guère longue vie, les agences de communication et de publicité ne s'intéressaient pas à nous... Bref, à part les vrais "geeks" créant leurs templates de blogs eux-mêmes et les "pro" qui tenaient des discours B2B dans leurs articles, les autres étaient considérés comme des adeptes du "je raconte ma vie version journal intime en public"...

8 ans plus tard, le monde des blogs a bien changé, et être des deux côtés de la barrière depuis tout ce temps m'a permis d'observer non seulement l'évolution des blogueurs mais aussi celle des marques et agences qui nous traitent différemment. A coup de "chers influenceurs", d'invitations, de cadeaux ou encore de "vous pouvez en parler sur votre page facebook ou votre compte twitter svp ? ça intéressera votre communauté de lecteurs", il arrive parfois qu'on nous déroule le tapis rouge, nous simples passionnés de ce qu'on fait, sur nos heures (et nuits) de temps libres. Une véritable récompense pour un travail qui prend du temps (car oui, tenir un blog régulièrement, avec une audience etc... C'EST DU BOULOT, ça ne tombe pas du ciel !).

Les opérations marketing des sorties de films

Cette longue introduction pour dire qu'en tant que blogueurs cinéma, vivant à Paris, avec un blog tout choupi, tout joli, tout plein de bons articles, nous avons la chance d'être invités à des évènements "complémentaires" en plus des projections de films en avant première. 

Si Oasis nous en a mis plein les yeux en nous amenant en limousine rencontrer l'équipe de Iron Man 3, et si Way To Blue nous a fait aimer le lasergame pour la sortie de Stratégie Ender... le dernier en date a été très fort en rire et en émotion en se plaçant à un haut niveau !

A l'occasion de la sortie DVD du film "Evasion" (avec Stallone et Schwarzenegger), l'agence de la Jungle Design et M6 Vidéo nous ont recruté en tant que véritables agents de combats et stratégies pour une mission simple : nous "évader" de Koézio

Les opérations marketing des sorties de films

Pour rester dans le thème du film où les 2 acteurs doivent s'échapper d'une prison, en mode badass, en alliant stratégie et force, nous avons découvert le concept du centre Koézio. Un mix entre l'ambiance graphique du lasergame, les jeux de stratégie et l'accrobranche... UN KIFF MONSTRUEUX que je recommande à tous :-) 

Etape 1 : on te met en conditions comme un agent, tu enfiles une combinaison, des chaussures et on synchronise nos montres

Etape 2 : on t'explique que la cohésion d'équipe est primordiale si tu veux t'en sortir. Donc tes coéquipiers et toi ne vous lâchez plus jusqu'à la fin de la mission.

Etape 3 : la première mission est gentillette, la deuxième est un peu physique, la troisième te fait réflechir à fond les ballons et la quatrième... tu pleures ta race à 15m du sol !

Les opérations marketing des sorties de filmsLes opérations marketing des sorties de films
Les opérations marketing des sorties de filmsLes opérations marketing des sorties de films

Une après-midi à se prendre pour un agent, à bien rigoler, à bien transpirer et à réfléchir... Pour un peu, Stallone et Shwarzy n'ont qu'à bien se tenir ;-) Un très grand merci à l'agence et au distributeur d'avoir eu cette idée là mais aussi de l'avoir mise en place pour une poignée d'entre nous. Créer un évènement autour de la sortie d'un film fait aussi partie d'une bonne stratégie de communication, originale et créative. On recommence quand vous voulez !

11 gifs qui montrent qu'être un super-héros c'est compliqué dans la vraie vie

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11 gifs qui montrent qu'être un super-héros c'est compliqué dans la vraie vie

Non, être un super-héros n'est pas forcément cool et surtout pas pratique dans la vie réelle ! Oubliez vos désirs de gloire, de femmes et de collants et soyez heureux dans votre vie banale.

 

1. La crédibilité zéro de la cape pour les balades dans la rue

11 gifs qui montrent qu'être un super-héros c'est compliqué dans la vraie vie

2. La maniabilité compliquée du bouclier

11 gifs qui montrent qu'être un super-héros c'est compliqué dans la vraie vie

3. La difficulté pour boire un verre avec des potes

11 gifs qui montrent qu'être un super-héros c'est compliqué dans la vraie vie

4. L'encombrement du costume pour les tâches ménagères

11 gifs qui montrent qu'être un super-héros c'est compliqué dans la vraie vie

5. Tout peut vous rappeler votre passé trouble 

11 gifs qui montrent qu'être un super-héros c'est compliqué dans la vraie vie

6. Un McDo de trop et les acrobaties c'est fini

11 gifs qui montrent qu'être un super-héros c'est compliqué dans la vraie vie

7. Une bavure est trop vite arrivée

11 gifs qui montrent qu'être un super-héros c'est compliqué dans la vraie vie

8. Il faut 14h d'entrainement par jour pour être à peu près en forme

11 gifs qui montrent qu'être un super-héros c'est compliqué dans la vraie vie

9. Le slip : crédibilité -1000

11 gifs qui montrent qu'être un super-héros c'est compliqué dans la vraie vie

10. Il faut maîtriser l'art du frisbee comme personne

11. La dangerosité de concilier vie familiale et vie héroique

11 gifs qui montrent qu'être un super-héros c'est compliqué dans la vraie vie

[Concours] Et si vous alliez au Festival TV de Monaco ?

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[Concours] Et si vous alliez au Festival TV de Monaco ?

Il y a des mails comme ça, qui vous font sauter de votre chaise... Comme par exemple, être invitée au Festival de Télévision de Monte-Carlo / Monaco ! LE festival qui récompense les meilleures productions TV (films tv, séries, mini-séries, reportages...) internationales. Une véritable institution pour moi, enfant de la petite lucarne.

Le meilleur de la profession télévisuelle se réunit du 7 au 11 juin 2014 pour décerner prix, différentes récompenses et les fameuses "Nymphes d'Or".

Alors oui, cette année Justcinema.net sera reporter officiel pendant 2 jours durant le festival : articles, récompenses, live-tweets, des photos... Mais ne soyez pas jaloux car on embarque l'un d'entre vous avec nous ! OUI OUI (merci à Bigkids.fr) et on a aussi plein d'autres super cadeaux :

 

  • 1er prix : Une journée au festival TV de Monaco 9 et 10 juin (transports + nuit d'hôtel offerts)
  • 2e, 3e et 4e prix : 1 VIP Box , 1 Pack Festival et 1 livre du festival

(VIP Box = des soins, des parfums, des cosmétiques et d'autres surprises. Pack Festival = 1 clé USB, 1 polo, l'affiche officielle, 1 porte-clé Nymphe et 2 invitations VIP à la cérémonie de clôture le 11 juin 2014)

  • 5e et 6e prix : 1 livre du festival

 

Alors, c'est pas du beau concours de dingue ça ??? Amateurs et fans de séries, à vos postes ! Pour participer il vous suffit de répondre aux questions du quiz ci-dessous qu'on vous a préparé avec amour autour de la série Dr House, de laisser vos coordonnées à la fin et on fera un tirage de nos innocentes mains !

Vous avez jusqu'au Dimanche 4 mai 2014 minuit pour jouer, nous ferons ensuite un tirage au sort et contacterons les gagnants ! * Limité à la France Métropolitaine // ** Indiquez bien une adresse mail valide dans le formulaire du commentaire afin que nous puissions vous contacter si vous êtes l'un des grands gagnants.

[BONUS] Multipliez par 2 vos chances de gagner au tirage au sort en likant notre page Facebook (ci dessous)... puis en indiquant vos pseudos (twitter et/ou facebook) dans votre commentaire afin qu'on vous reconnaisse !

Rien ne serait possible sans les sponsors officiels, alors c'est la moindre des choses que de les remercier ! Franck Provost : Coiffeur Officiel du Festival de Télévision de Monte-Carlo. Montana : Sponsor parfums du Diner de Gala. Leonor Greyl : Partenaire du Gift Lounge. Valmont : Partenaire du Gift Lounge...

9 Gifs qui montrent que Star Wars est un film porno

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Le casting de Star Wars Episode 7 (réalisé par J.J. Abrams) venant de tomber, nous avons eu envie de vous parler des 6 premiers opus (et d'un film sur les ewoks) dont certaines scènes, sorties de leurs contextes, laissent à penser que George Lucas and co sont des coquins.

 

Rubrique Threesome

9 Gifs qui montrent que Star Wars est un film porno

Rubrique Blowjob

9 Gifs qui montrent que Star Wars est un film porno

Rubrique Teen

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Rubrique Cunnilingus

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Rubrique Brunette

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Rubrique Hardcore

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Rubrique Interracial

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Rubrique Black

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Rubrique Mature

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[critique] X-Men : Days of Future Past

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Ambitieux projet que de réunir l'univers de la trilogie X-Men lancée en 2000 par Bryan Singer et celui de X-Men : Le Commencement de Matthew Vaughn qui marqua le retour du groupe de mutants sur grand écran après 5 ans d'absence.

Le film est-il à la hauteur de ses ambitions ? Réponse maintenant !

[critique] X-Men : Days of Future Past

Un mélange efficace

 

D'un côté le futur sombre, contrôlé par les Sentinelles toutes-puissantes de Bolivar Trask (Peter Dinklage), où mutants s'unissent dans un dernier espoir avant leur extinction. De l'autre le passé trouble, dans lequel Charles Xavier (James McAvoy) n'est que l'ombre de lui-même et Magneto (Michael Fassbender) plus cruel que jamais.

Dès le début du film nous avons un bel aperçu du monde futuriste très post-apocalyptique et on devine qu'on aura droit à plus que du simple fun et du divertissement dont nous a habitué Marvel avec Avengers notamment (que l'on adore pour ce qu'il est !). Et si certaines tentatives (plus ou moins réussies) du studio de passer aux scénarios plus Black avec Iron Man 3 ou plus dark avec Thor 2 et Captain America 2 c'est vraiment dans l'univers et l'histoire de nos mutants préférés que cette maturité cherchée est atteinte.

Le futur a une double utilité : nous montrer les personnages que l'on adorait plus jeune, Charles Xavier (Patrick Stewart) et Magneto (Ian McKellen) en tête et bien évidemment Iceberg (Shawn Ashmore), Tornade (Halle Berry) et consorts... Et créer de l'enjeu pour la mission de Wolverine (Hugh Jackman) qui doit retourner dans le passé pour changer le futur. C'est vraiment intéressant d'avoir choisi d'intégrer cela et de jouer avec l'attachement des spectateurs pour les personnages (franchement malmenés). La tension est présente dès le début et de nombreux rappels entre scènes dans le passé et dans le futur sont là pour accentuer l'urgence/importance de la mission du mutant griffu.

L'histoire dans le passé se focalise surtout sur le trio Charles Xavier, Magneto et Mystique (Jennifer Lawrence) et pour une fois Wolverine n'est pas au centre de l'aventure et sert de lien entre les époques. Hugh Jackman s'en sort d'ailleurs très bien, après 2 opus en solo désastreux que le réalisateur Bryan Singer a décidé d'oublier sur ce film. On le voit guider le jeune Charles et cette inversion des rôles entre le professeur et l'élève est franchement plaisante. Comme dans X-Men : Le Commencement les 3 acteurs du trio sont au top dans l'interprétation. 

[critique] X-Men : Days of Future Past

Des scènes à couper le souffle

 

Ne vous attendez surtout pas à une débauche d'action, le film n'est pas qu'un gros blockbuster divertissant et bourrin. En revanche, les scènes où cela chauffe avec les mutants et les Sentinelles sont impressionnantes, en particulier les combats avec Blink qui utilise des disques de téléportation pour aider ses alliés. 

Par ailleurs, la bonne surprise du film est Vif-Argent, mutant ultra rapide, qui nous offre une scène en musique démentielle.

Généreux, le film ne l'est pas que dans l'action mais aussi dans les dialogues. Intelligents, incisifs, drôles et comportant pas mal de références à l'univers X-Men, ils apportent une réelle profondeur au film.

Assez didactique, la mise en place de l'action dans le passé prend du temps, il y a beaucoup d'explications, mais ce n'est jamais déplaisant. On sent que le film est ambitieux dans son scénario, et on sent aussi l'envie de Bryan Singer de faire quelque chose de bien, appliqué, et son amour pour cet univers. Le thème de la prédestination et de tout ce qui touche au destin et à l'impact de nos actions est parfaitement maîtrisé et apporte la maturité souhaitée dans le film. 

La fin est particulièrement émouvante, et restez évidemment après le générique de fin pour découvrir le personnage central de la suite du film, prévue pour 2016 !

[critique] X-Men : Days of Future Past

Conclusion

 

Un film maîtrisé, sombre et mature, avec des interprètes géniaux et des scènes incroyables. C'est plaisant de voir un film de super-héros aussi abouti. Bref, il est à la hauteur de ses ambitions !

 

Note finale : 9/10

[concours] 1 coffret Blu-ray de la saison 1 de Following à gagner

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Following est une série fort agréable avec Kevin Bacon et James Purefoy qui raconte l'histoire d'un tueur psychopathe qui utilise la technologie et le web pour créer un réseau de tueurs reliés les uns aux autres. 

J'ai regardé entièrement la saison 1 et il faut avouer que c'est très prenant, surtout grâce aux acteurs déjà bien rodés du grand écran que son Bacon et Purefoy. Il y a aussi Shawn Ahsmore que j'aime beaucoup, qui interprète également le mutant Iceberg dans la série des X-Men dont l'excellent X-Men : Days of future past.

[concours] 1 coffret Blu-ray de la saison 1 de Following à gagner

A l'occasion de la sortie en DVD et Blu-ray de Following (en date du 14 mai), nous vous proposons de gagner 1 coffret Blu-ray de la saison 1.

Pour participer, rien de plus simple, il vous suffit de répondre aux 2 questions suivantes dans un commentaire sous l'article :

Question 1 : Comment s'appelle le personnage interprété par James Purefoy ?

Question 2 : Le créateur de la série, Kevin Williamson, a été le scénariste d'un film d'horreur culte de Wes Craven. Lequel ?

Vous avez jusqu'au vendredi 23 mai 2014 minuit pour jouer, nous ferons ensuite un tirage au sort et contacterons les gagnants ! * Limité à la France Métropolitaine // ** N'oubliez pas que les réponses peuvent se trouver dans cet article // *** Indiquez bien une adresse mail valide dans le formulaire du commentaire afin que nous puissions vous contacter si vous êtes l'un des grands gagnants.

[BONUS] Multipliez par 2 vos chances de gagner au tirage au sort en likant la page Justcinema (www.facebook.com/Justcinema)... puis en indiquant vos pseudos (twitter et/ou facebook) dans votre commentaire afin qu'on vous reconnaisse ! 

Maléfique : l'autre vision de la Belle au Bois Dormant

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Très belle surprise ! Je pense que je peux résumer le film "Maléfique", le nouveau Disney s'inspirant du conte de la Belle au Bois Dormant comme ça. Angelina Jolie endosse le rôle de la méchante sorcière du dessin animé Disney...

Mais ce dont on ne s'attendait pas à découvrir c'est une véritable adaptation et revue de l'histoire avec laquelle on a grandit. Pour éviter de vous spoiler un maximum de choses, voici 5 points essentiels pour vous convaincre d'aller le voir et vous faire votre avis !

Maléfique : l'autre vision de la Belle au Bois Dormant

Note finale : 8/10

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