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Channel: JustCinema.net - le cinema/films pour les nuls - par Céline Crespin & Guillaume Faou
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Quand tu dis marrer le réalisateur Ariel Zeitoun avec tes questions ;) #Angelique2013 #justcinema


Ces acteurs qui font toujours la même chose dans les films

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Qu'ils soient très bons ou très nuls, certains acteurs aiment faire la même chose. Cela peuvent être des mots, des attitudes, des gestes... Voici ceux que l'on retient !

 

Shia LaBeouf qui dit "Non, non, non !"

Le tic : Face à une situation difficile ou dangereuse, qu'importe son personnage ou le film, le petit Shia aime dire non plusieurs fois de suite. On espère qu'il ne le fera pas dans le prochain Lars Von Trier intitulé Nymphomaniac et dans lequel il fera (énormément) l'amour à une très jolie fille. Une occasion pour lui de dire "oui oui oui".

Les preuves : Transformers 1 à 3, Indiana Jones et le Royaume du Crâne de Cristal, L'Œil du mal et Paranoiak.

 

Samuel L. Jackson qui râle

Ces acteurs qui font toujours la même chose dans les films

Le tic : D'accord être enfermé dans un avion avec des serpents est une situation dans laquelle il est autorisé de râler. Mais je pense surtout que le film a été fait pour que l'acteur puisse faire son show. Car oui Samuel L. Jackson est LE patron des râleurs. Jamais content, toujours à se plaindre de quelque chose, parfois c'est la classe, parfois c'est insupportable.

Les preuves : Pulp Fiction, Des serpents dans l'avion, Django Unchained, Incassable, The Spirit, Négociateur, Une journée en enfer, Peur Bleue et bien d'autres.

 

Harrison Ford qui pointe du doigt

Le tic : Quand Harrison Ford est vénère, il pointe son index. Et ça marche. Après ça, on n'a pas envie de le faire chier. Il a tellement la classe. Et puis, un si grand acteur, on lui pardonne volontiers de parfois se répéter. En tout cas apprentis qui veulent rentrer dans le métier, vous savez quoi faire quand vous passez un casting et que vous devez jouer le mec énervé.

Les preuves : Star Wars, Indiana Jones, Mosquito Coast, K-19 : Le Piège des profondeurs, Air Force One, Witness.

 

Jeff Goldblum qui fait "uhh"

 

Ces acteurs qui font toujours la même chose dans les films

Le tic : On ne sait pas si c'est parce qu'il oublie son texte l'espace d'une seconde ou juste une habitude d'acteur, mais Jeff aime faire des bruits avec sa bouche entre deux tirades. Parmi la liste, "uhh" et "hum" sont en tête et les plus assidus remarqueront qu'il accentue souvent la première lettre d'un mot comme s'il réfléchissait trop avant de parler. En même temps ça va bien avec le genre de personnages un peu nerd auxquels il est habitué.

Les preuves : Tous les films avec Jeff Goldblum

 

Johnny Depp qui porte un chapeau

 

Ces acteurs qui font toujours la même chose dans les films

Le tic : Habitué des personnages hauts en couleur, Depp prend plaisir à se grimer pour rentrer dans la peau de celui qu'il interprète. Et forcément, il n'est pas rare de le voir avec des accessoires dont son préféré : le chapeau (qu'il porte même à la ville !). De l'imagination débordante de Burton au classique couvre-chef de flibustier en passant par le bob, Depp aime avoir quelque chose sur la tête.

Les preuves : Pirates des Caraïbes 1 à 4 (et probablement dans Pirates des Caraïbes 5 aussi), Dead Man, Las Vegas parano, Charlie et la chocolaterie, Rhum express, Public enemies, Alice au pays des merveilles.

 

Keanu Reeves qui dit "Whoa"

 

Le tic : Keanu n'a pas perdu son âme d'enfant et est souvent impressionné par ce qu'il se passe autour de lui. Et il aime le faire savoir au spectateur par un "whoa". En même temps, quand je vois qu'il ne vieillit pas et même que limite il rajeunit avec le temps, j'ai aussi envie de dire "whoa". 

Les preuves : Point Break, Matrix, l'Associé du diable, Speed et L'Excellente Aventure de Bill et Ted.

 

Leonardo DiCaprio qui lève son verre

 

Ces acteurs qui font toujours la même chose dans les films

Le tic : J'avoue que celui-là c'est mon petit préféré. J'ai remarqué ça en regardant Django Unchained puis en tombant ensuite sur la bande-annonce de son prochain film avec ScorceseLe Loup de Wall Street que quoiqu'il se passe, si Leo a un verre il va le lever ! C'est complètement dingue. Tenez, regardez cette compilation de gif si vous ne me croyez pas.

Les preuves : Django Unchained, Le Loup de Wall Street, Titanic, Romeo + Juliette (deux films où il embrasse à merveille), Gangs of New-York (parce qu'il était jaloux de la moustache de son partenaire à l'écran ?), Inception... Bref la liste est longue. Rendez-vous sur la compil de gif ci-dessus !

 

Steven Seagal qui fait une tête de Steven Seagal

 

Ces acteurs qui font toujours la même chose dans les films

Le tic : Je pense que l'ami Steven s'est fâché avec une mamie gitane qui lui a lancé une malédiction. Depuis ce jour, il ne peut plus bouger son visage. C'est ça ou la chirurgie esthétique. Heureusement que le bougre est bon acteur, il arrive à être génial avec UN seul visage. La classe.

Les preuves : Tous les direct to dvd films avec le grand Steven Seagal.

 

Brad Pitt qui mange

 

 

Le tic : Mais comment fait-il pour garder la ligne ? Je sais qu'il doit aller dans les meilleures salles de sport de Los Angeles et même avoir un coach perso mais à ce niveau-là je pense que ça ne suffit pas ! Surtout qu'il ne mange pas de la salade dans les films mais surtout de la junk food. Cela m'a donné faim tout ça...

Les preuves : Ocean's eleven, Mr. and Mrs. Smith, Inglourious Basterds, Rencontre avec Joe Black, Troie, Burn after reading, Moneyball, Benjamin Button et j'en passe. Pour les plus intéressés voici une liste des aliments préférés de Bradou.

 

Tom Cruise qui court

 

Le tic : Quel athlète ! Quoiqu'il arrive, et même dans un film qui n'est pas un blockbuster bourrin, Tom arrive toujours à trouver le moyen de courir. Je le comprends, tous ces efforts à la salle de sport, il faut le montrer quoi ! 

Les preuves : Jack Reacher, Mission Impossible 1 à 4, La guerre des mondes, Collateral, Le dernier samouraï, Minority Report, Vanilla Sky, Eyes Wide shut, Jerry Maguire...

 

Matthew McConaughey qui enlève le haut

Ces acteurs qui font toujours la même chose dans les films

Le tic : Un poil exhib, Matthew l'est certainement. Tel le Tom Cruise de base, il veut montrer qu'il est inscrit à la salle de sport. Et, plutôt que de suer à l'écran en courant, il préfère enlever son haut (chemise ou tshirt, tout y passe) pour le plus grand plaisir des dames. Céline poussera sans doute un petit gémissement en lisant ces phrases.

Les preuves : Emprise, Le Règne du feu, Sahara, L'Amour de l'or, Comment se faire larguer en 10 leçons, En direct sur Edtv, Tiny Tiptoes...

 

Christophe Lambert qui rigole

 

Le tic : On termine par un mec de chez nous, normal. Et quel mec ! Son rire est devenu culte, tout comme certains de ses films (je suis un fan inconditionnel de Beowulf). Du coup il use et en abuse pour le plus grand plaisir du spectateur qui, navré de voir un nanar d'envergure, se dit qu'après tout la vie n'est pas si nulle à l'écoute de cette expression de bonheur.

Les preuves : Vercingétorix, Beowulf, Mortal Kombat, Fortress, Highlander, Arlette, Resurrection et le Sicilien.

 

Vous connaissez d'autres acteurs qui font toujours la même chose ?

[Concours] 7x2 places pour la projection du Hobbit 2 sur Paris !

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Avis aux fans qui peuvent être présents sur Paris vendredi 13 décembre à 18h45/19h ! A l'occasion de la sortie du 2e opus de la saga du "Hobbit 2 : la désolation de Smaug" de Peter Jackson, nous vous invitons à une projection exceptionnelle chez Warner Bros eux-même en petit comité.

Une projection d'une superbe qualité grâce au matériel Epson et un cocktail "Heroic Fantasy". Vous avez même le droit de venir déguisés ;-)

[Concours] 7x2 places pour la projection du Hobbit 2 sur Paris !

Grâce à notre partenaire Epson, on vous propose de gagner 7x2 places (14) pour assister à cette projection exceptionnelle de "Le Hobbit 2 : le désolation de smaug" le 13 décembre 2013 dans les locaux de Warner Bros à Paris

Pour participer, rien de plus simple, il vous suffit de répondre aux 2 questions suivantes dans un commentaire sous l'article :    

  • Question 1 :  Comment s'appelle le hobbit, héros de cette saga ?
  • Question 2 :  Citez 1 personnage (au choix) en commun entre la saga du Hobbit et la saga du Seigneur des Anneaux

Vous avez jusqu'au Mardi 10 décembre 2013 minuit pour jouer, nous ferons ensuite un tirage au sort et contacterons les gagnants !

* Limité à la France Métropolitaine // ** N'oubliez pas que les réponses peuvent se trouver dans cet article // *** Indiquez bien une adresse mail valide dans le formulaire du commentaire afin que nous puissions vous contacter si vous êtes l'un des grands gagnants.

[BONUS] Multipliez par 2 vos chances de gagner au tirage au sort en likant la page d'Epson France (www.facebook.com/Epsonfrance)... puis en indiquant vos pseudos (twitter et/ou facebook) dans votre commentaire afin qu'on vous reconnaisse !

[critique] Le Hobbit : la Désolation de Smaug

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Suite des aventures de Bilbon Sacquet, après un premier opus correct mais avec des longueurs et assez de défauts pour calmer mon enthousiasme. Mais c'est sans compter sur ce deuxième film plus mature et sombre qui a réussi à rallumer ma passion pour la Terre du Milieu.

[critique] Le Hobbit : la Désolation de Smaug

Un univers immersif

 

Je dois avouer que je n'ai pas vu les 2h41 du film passer, tellement le film m'a transporté dans la Terre du Milieu. Visuellement magnifique, les différentes régions que les personnages traversent sont variées et ont une identité et une ambiance très riches. Nous avons l'occasion de faire un vrai voyage, visitant tour à tour la forteresse sombre de Dol Guldur, le royaume des Elfes de la Forêt Noire, la ville humaine de Bourg-du-Lac et la majestueuse cité naine d'Erebor, occupée par le dragon Smaug.

Les décors sont très travaillés, très différents les uns des autres pour apporter une véritable richesse à l'ensemble de l'épopée, un peu à l'image du Seigneur des Anneaux où l'on pouvait voir plusieurs décors.

Le seul reproche que je peux faire à cet univers est une fois de plus la musique, qui n'est vraiment pas mémorable. Pas dérangeante certes, mais qui n'apporte pas autant que les bandes originales de la première trilogie de Peter Jackson, qui en venaient même à être des personnages à part entière de l'histoire tellement elles apportaient à la narration et à l'action.

[critique] Le Hobbit : la Désolation de Smaug

Plus mature avec des références plus subtiles

 

Beaucoup moins axé sur l'humour et la "bouffonnerie" des nains que son aîné et plus sur la volonté de fer de la compagnie, en particulier Thorin, de mener à bien la quête, le film gagne en maturité et ce n'est pas pour me déplaire ! La menace qu'est Smaug se ressent de plus en plus, et il impressionne dès qu'on le voit à l'écran ! Majestueux et terrible, avec la voix grave de Benedict Cumberbatch, on constate très bien sa puissance si dévastatrice. Particulièrement bien réalisé, le monstre nous offrira du très grand spectacle en s'opposant à la compagnie sous la Montagne Solitaire.

Mais c'est avec le Nécromancien, affaire qui préoccupe Gandalf, que la menace et le côté sombre du film prennent tout leur sens. Ennemi très puissant qui se prépare à réapparaître à la surface du monde pour faire la guerre aux peuples de la Terre du Milieu, il va donner du fil à retordre au magicien et quand on sait tout ce que l'on sait sur les aventures futures imaginées par Tolkien, on ne peut s'empêcher de frémir. Quand l'ennemi se révèle enfin à Gandalf, je peux vous dire que ça fait froid dans le dos !

Ce qui n'a pas aidé le premier film à être vraiment apprécié par les fans, c'est qu'il était très semblable au premier opus du Seigneur des Anneaux, tant par la narration que par les multiples références plus ou moins lourdes de Peter Jackson. Ici, la comparaison avec le deuxième film du Seigneur des Anneaux est moins évidente. L'aventure des nains devient une véritable aventure à part entière, et n'est plus un truc secondaire qui nous faisait trop penser à la première trilogie. L'arrivée de Legolas dans l'histoire est évidemment la référence la plus évidente. Et malgré mon scepticisme de départ, je dois avouer que j'ai adoré le revoir dans le film. Orlando Bloom a semble-t-il pris des cours d'acting car il est tout à fait bon dans son personnage et les scènes d'action avec lui nous rappelle qu'il est ultra classe. D'ailleurs la scène des tonneaux à laquelle il participe est juste impressionnante. Il fallait que je le précise.

En revanche, l'arrivée de Tauriel (Evangeline Lilly) ne m'a pas trop fait rêver. On sent qu'elle est là par nécessité de mettre au moins une fille dans le film. Ok les nains c'est pas sexy mais utiliser un personnage comme ça n'est pas très malin. Dans le Seigneur des Anneaux, la présence d'Arwen (Liv Tyler) apportait de la profondeur au personnage d'Aragorn. Ici on sent que le personnage n'existe pas dans le livre, et n'apporte rien à l'histoire. Et la pseudo histoire d'amour avec un des aventuriers est d'ailleurs totalement inutile et ajoute des longueurs.

[critique] Le Hobbit : la Désolation de Smaug

Des personnages travaillés

 

Une fois encore, le trio Gandalf/Bilbon/Thorin est à la hauteur. Martin Freeman fait un très beau travail sur son interprétation du hobbit. Parfois courageux, parfois inconscient, parfois peureux, il offre un beau panel d'émotions à son personnage, qui commence aussi à être rongé par le pouvoir de l'Anneau. Thorin est plus déterminé et plus sombre qu'avant, sa fierté et son caractère implacable se dévoilent au fur et à mesure que la compagnie se rapproche de la Montagne. Il est prêt à tout pour récupérer ses richesses, et ne semble pas disposer à les partager. Enfin on voit un Gandalf soucieux, voire même effrayé par le mal que représente le Nécromancien, ce qui change de son image habituelle et qui renforce la force de la menace qui pèse sur la Terre du Milieu. Le reste de la compagnie est toujours anecdotique mais tout de même moins que dans le premier opus. 

[critique] Le Hobbit : la Désolation de Smaug

Conclusion

 

Une suite réussie à la hauteur de mes attentes. Visuellement impressionnant, avec un déroulement plus mature, le film annonce du très lourd pour le troisième et dernier opus. Cela fait du bien de reprendre autant de plaisir devant les héros de la Terre du Milieu ! L'attente sera longue.

 

Note finale : 8,5/10

20 cadeaux à vous faire gagner ce VENDREDI 13...

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20 cadeaux à vous faire gagner ce VENDREDI 13 DÉCEMBRE de 12h30 a 14h30 pour le dernier #concoursfacebook de répliques de l'année >> a noter d'urgence dans vos agendas :-)

[Critique] Thor 2, le monde des ténèbres

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Nous l'avons attendu... Fans de l'univers Marvel, autant des comics que des films mélangeant souvent humour, aventures et explosions visuelles, nous attendions la suite de la saga, "THOR 2 : le monde des ténèbres" avec Chris Hemsworth et Natalie Portman !

Indisponibles pour l'avant-première, nous avons envoyé @geotoine et sa plume pour tout vous raconter !

>> Par contre nous avons été à la conférence de presse, rencontrer Natalie Portman (Jane) et Tom Hiddleston (Loki), on vous dit tout, avec plein de photos, dans cet article !

[Critique] Thor 2, le monde des ténèbres

Longtemps derrière DC Comics au cinéma, Marvel a repris l'avantage ces dernières années grâce à un univers cinématographique cohérent et parfaitement orchestré. En 2011, lorsque Kenneth Branagh signait l'adaptation de Thor sur grand écran, il donnait vie au dieu nordique sous les traits de l'australien Chris Hemsworth et posait avec réussite les bases du monde d'Asgard. Le personnage a été vu depuis dans Avengers de Joss Whedon, dans lequel son frère - le vilain Loki - semait la pagaille sur Terre. Le revoilà maintenant à l'écran pour poursuivre sa propre franchise avec Thor, le monde des ténèbres.

Synopsis : Thor se bat pour restaurer l'ordre, mais une ancienne race, sous la conduite du terrible Malekith, un être assoiffé de vengeance, revient pour répandre les ténèbres. Confronté à un ennemi que même Odin et Asgard ne peuvent contrer, Thor doit s'engager dans son voyage le plus dangereux et le plus personnel, un voyage qui va le ramener vers Jane Foster et l'obliger à tout sacrifier pour sauver l'espèce humaine...

L’univers le plus atypique de la franchise Marvel

Deuxième film de la seconde phase de l'Univers cinématographique Marvel, Thor, le monde des ténèbres succède au très bon Iron Man 3. Mais pas question ici de gadgets technologiques et de paysages de Floride. Comme son précédent volet, le film nous fait voyager dans de magnifiques contrées de l'espace, des contrées bien éloignées de notre chère planète bleue. Kenneth Branagh ayant laissé la place vacante, c'est au tour d'Alan Taylor de s'asseoir dans le siège du réalisateur. Celui que l'on connaît surtout pour son travail sur les deux premières saisons de Game of Thrones, signe ici son premier blockbuster hollywoodien.

Au début du film, les neuf mondes vivent en paix grâce à Thor et ses amis guerriers, et rien ne semble pouvoir troubler cette quiétude. Mais c'est sans compter une force maléfique qui s'éveille et rassemble ses troupes dans l'ombre, menaçant l'ensemble des mondes. Heureusement, notre super-héros nordique n'est pas loin. Pour nous présenter la menace, le film s'ouvre sur une petite séquence explicative qui nous rappelle, sans en atteindre la qualité, les introductions de Hellboy II et du Seigneur des Anneaux. Concernant ce dernier, il est d'ailleurs impossible de ne pas l'avoir en tête lors des premières scènes de batailles, qui malheureusement trop courtes.

[Critique] Thor 2, le monde des ténèbres[Critique] Thor 2, le monde des ténèbres

Passées les premières minutes, on a une légère impression, qui va malheureusement durer durant une grande partie du film : celle d'avoir beaucoup de mal à rentrer dans l'univers. Il faut dire aussi que celui de Thor est vraiment à part dans la sphère Marvel (du mois en attendant le cosmique Les Gardiens de la Galaxie). Le monde irréel d'Asgard et ce qui l'entoure constituent quelque chose de très périlleux à mettre en scène à l'écran et nous faire croire à cet univers et nous y transporter sont deux choses bien différentes mais qui demandent toutes les deux du temps. Or, le film ne prend pas du tout le temps de le faire. Pour ne rien arranger, les aller-et-retours entre la Terre et Asgard s'enchaînent sans discontinuer. Peut-être aurait-il été plus judicieux de s’intéresser exclusivement à Asgard cette fois-ci.

[Critique] Thor 2, le monde des ténèbres[Critique] Thor 2, le monde des ténèbres

Vous reprendrez bien un peu de Loki ?

Sur notre planète, Jane Foster ne peut s'empêcher de penser à Thor. Avec ses amis scientifiques, elle guette le moindre événement hors du commun qui pourrait lui permettre de prendre contact avec lui. Le personnage interprété par Natalie Portman, totalement absent d'Avengers, reprend ici une place très importante dans l'intrigue. Sur Asgard, Thor doit suivre de son côté les conseils de son père Odin (Hopkins, divin) tandis que Loki s'habitue à la vie dans sa nouvelle cellule. Le temps de mettre en place les différentes pièces du puzzle, il faudra ainsi attendre une bonne heure pour que le film démarre réellement.

Pour sauver les différents mondes de la menace qui les guette, Thor devra passer outre les ordres de son père et faire confiance à son frère Loki, tout en sachant que celui-ci risque à tout moment de le trahir. Malgré un méchant un peu trop discret et un humour parfois trop présent (le Dr. Erik Selvig et Darcy Lewis), cette seconde partie s'avère plus animée mais aussi plus réussie avec de vrais enjeux et un Tom Hiddleston en pleine forme, qui vole la vedette à chacune de ses apparitions. Les scènes qu'il partage avec Chris Hemsworth s'avèrent être parmi les meilleures moments du film, qui comptent également l'impressionnante scène d'action finale en plein Londres, laquelle fourmille de bonnes idées. On remarque quelques références à Avengers, mais qui malheureusement se limitent aux simples clins d'œil.

Divertissant, mais pas indispensable

Malgré le plaisir de retrouver tous les personnages du premier volet (hors agents du SHIELD, exclus de l'aventure cette fois), Thor, le Monde des Ténèbres peine à développer son intrigue correctement et souffre d'un méchant trop en retrait et de petites faiblesses propres à la particularité de son univers. Néanmoins le film est bon, divertissant et, bien sûr, on reste toujours abasourdi par les coups de marteaux de Thor et le caractère imprévisible de Loki. Pas le film le plus indispensable de l'Univers Cinématographique Marvel, mais il ne démérite pas sa place aux côtés des autres films.

[Critique] Thor 2, le monde des ténèbres[Critique] Thor 2, le monde des ténèbres

Note finale : 6/10

Attention! Comme pour tout film Marvel qui se respecte, pensez à rester lors du générique de film. Deux scènes "bonus" se trouvent dans le générique de Thor 2 : la première, qui devrait faire plaisir aux fans Marvel, au milieu et la seconde, plutôt inutile, à la toute fin. Vous voilà prévenus !

>> Allez, petit cadeau bonus, un extrait entre Thor et Loki !

Conférence de presse de Thor 2 : le monde des ténèbres

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Avant de commencer cet article, je tenais à préciser quelque chose d'important. J'ai vu Natalie Portman ! Voilà, c'est dit. Et elle est encore plus belle en vrai que quand elle est sur les affiches des plus grandes marques de luxe. Elle n'a même pas besoin de filtre Instagram. L'objectif de l'appareil photo se focus automatiquement en la voyant. Bref elle est divine.
(Note de Céline : bon, il n'est pas objectif DU TOUT, mais je l'ai vue aussi... p*tain ce qu'elle est belle, il a raison).

Conférence de presse de Thor 2 : le monde des ténèbres

Nous étions donc hier au Park Hyatt Vendôme pour rencontrer Natalie Portman (Jane Foster), Tom Hiddleston (Loki), Alan Taylor le réalisateur du film et Kevin Feige, président de Marvel Studios pour nous parler de la suite des aventures du dieu viking Thor. La critique de Thor 2 : le monde des ténèbres.

Avant tout, il convient de parler du commencement, à l'époque où l'on n'osait même pas envisager un seul instant que les héros de comics connaîtraient leur heure de gloire sur grand écran. Un journaliste demande donc à Feige quand il a commencé à envisager la possibilité de regrouper et lier tous les héros du studio. Ce dernier a précisé qu'il débuta son activité de producteur sur X-men mais que ce monde de mutants était suffisamment compliqué pour qu'il pense à quelque chose de plus grand. C'est pendant le tournage d'Iron Man que l'idée a germé, donnant lieu à tout ce que l'on connaît.

Après un premier opus réalisé par Kenneth Branagh, c'est Alan Taylor qui prend les commandes. Réalisateur de quelques épisodes de Game of Thrones, c'est en partie grâce à ça qu'il a été contacté par Feige pour le film, Feige trouvant que le mélange de fantasy et de réalisme très présent dans la série collait bien à l'univers qu'il voulait donner à Thor 2.

Conférence de presse de Thor 2 : le monde des ténèbres

Tom Hiddleston retrouve le personnage de Loki pour la 3ème fois, après Thor 1 et Avengers. Il dit que c'est toujours un plaisir d'interpréter ce personnage, surtout parce qu'il est le dieu de la malice et de la friponnerie, il peut donc se défouler sur le tournage ! L'acteur aime aussi Loki car il est dingue, qu'il a des failles, qu'il est dans la douleur et la jalousie, donc pleins d'émotions à utiliser. Il précise que c'est de plus en plus intéressant de travailler sur Loki, sur ses motivations notamment. Il n'est plus tout à fait sûr que ce qu'il veut, à savoir le pouvoir, la place de Thor, et l'acteur pense que finalement, Loki préfère jouer le jeu que de le gagner. A voir si dans de futurs films, il aura enfin ce qu'il voulait et qu'il se rendra compte qu'il n'est toujours pas satisfait !

Quant à Natalie Portman, elle explique que travailler avec Chris Hemsworth (Thor) est toujours un plaisir, qu'il sait tout faire et qu'il est adorable, contrairement à Tom Hiddleston précise-t-elle en blaguant. 

(Note de Céline : Pendant 2 à 3 minutes, Natalie a fait l'éloge de Chris... Beau, gentil, "doué pour tout" (caliente !!), talentueux, adorable... Ma chère Natalie, tout ça on le saviat déjà, t'as pas besoin de nous le vendre le petit Chris alors... PAS TOUCHE !!)

Conférence de presse de Thor 2 : le monde des ténèbres

Natalie Portman aime la parité entre les hommes et les femmes présente dans Marvel. Le rôle des femmes est très important dans les films de super-héros et le studio décrit les deux sexes de la même façon. Les personnages ont en effet des moments de faiblesse, font parfois preuve d'une grande force. Les femmes peuvent avoir une carrière, du pouvoir... sans jamais tombé dans une description trop féministe. 

De retour dans le rôle du grand Odin, père de Thor, Anthony Hopkins est toujours aussi bon. Alan Taylor avait peur de travailler avec lui, tant il fut impressionné par l'interprétation de l'acteur dans le film Elephant Man. Mais après quelques minutes d'un déjeuner en tête à tête, le réalisateur explique qu'il était plus en confiance, sentiment qui se précisa encore plus sur le tournage où Hopkins imitait le fox terrier pour détendre l'atmosphère. 

Conférence de presse de Thor 2 : le monde des ténèbres

Comme son nom l'indique, Thor 2 : le monde des ténèbres est plus dark que son prédécesseur. Alan Taylor explique que cette mode de faire des films de héros plus sombres vient du fait que cela permet de faire oublier ce qui a été fait avant, pour proposer quelque chose de nouveau à l'audience. Il prend l'exemple de l'excellente trilogie de Batman par Nolan, qui a montré que l'homme chauve-souris pouvait être bien plus qu'un simple héros de comics.

Enfin, pour finir sur un note légère, Natalie Portman a du gifler à la fois Tom Hiddleston et Chris Hemsworth pour le film, le premier par colère après les évènements de Avengers, le second par amour et passion. Elle précise qu'elle a apprécié les deux à égalité, et Tom Hiddleston a lui adoré se faire gifler par la belle. On le comprend !

 

>> Retrouvez toutes les photos de la conférence de presse sur la page Facebook !

Les héroïnes de séries & Disney revisitées en illustrations manga

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Transformer les princesses Disney en héroïnes de séries TV ou de films, il fallait y penser et bien le faire ! Défi réussi par l'artiste Isaiah K. Stephens qui métamorphose et habille Alice en Buffy, Belle en Hermione, Blanche-Neige en Wonderwoman ou encore Mulan en Xena !

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[concours] 1 Blu-ray de Man of Steel à gagner

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L'Homme d'acier est revenu sur grand écran grâce au réalisateur Zack Snyder (Watchmen, 300). Avec son lot d'action, une interprétation incroyable de Kevin Costner (Jonathan Kent) et un très bon Russell Crowe (Jor-El), de l'émotion et une belle musique, le film promet un beau futur à Superman au cinéma, dont nous attendons impatiemment la suite de ses aventures où il croisera un certain Batman.

[concours] 1 Blu-ray de Man of Steel à gagner

Synopsis : Un petit garçon découvre qu'il possède des pouvoirs surnaturels et qu'il n'est pas né sur Terre. Plus tard, il s'engage dans un périple afin de comprendre d'où il vient et pourquoi il a été envoyé sur notre planète. Mais il devra devenir un héros s'il veut sauver le monde de la destruction totale et incarner l'espoir pour toute l'humanité.

A l'occasion de la sortie en DVD & Blu-Ray, nous vous proposons de gagner un Blu-Ray de Man of SteelPour participer, rien de plus simple, il vous suffit de répondre aux 3 questions suivantes dans un commentaire sous l'article :  

Question 1 : Comment s'appelle l'acteur qui interprète Superman ?

Question 2 : Quel autre film de super-héros a réalisé Zack Snyder ?

Question 3 : Publiez le résultat du Quiz “À quel point connaissez-vous Man of Steel?” disponible sur le widget ci-dessus.
 
Vous avez jusqu'au mardi 12 novembre 2013 minuit pour jouer, nous ferons ensuite un tirage au sort et contacterons les gagnants ! * Limité à la France Métropolitaine // ** N'oubliez pas que les réponses peuvent se trouver dans cet article // *** Indiquez bien une adresse mail valide dans le formulaire du commentaire afin que nous puissions vous contacter si vous êtes l'un des grands gagnants.

[BONUS] Multipliez par 2 vos chances de gagner au tirage au sort en likant notre page Facebook (ci dessous)... puis en indiquant vos pseudos (twitter et/ou facebook) dans votre commentaire afin qu'on vous reconnaisse !

[concours] 5x2 places à gagner pour Quai d'Orsay

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Nouveau film du réalisateur Bertrand Tavernier (Dans la brume électrique, Ça commence aujourd'hui), Quai d'Orsay met en scène Thierry Lhermitte qui a l'air très en forme aux vues de la bande-annonce, et est une adaptation de la bande dessinée du même nom créée par Christophe Blain et Abel Lanzac.

[concours] 5x2 places à gagner pour Quai d'Orsay

Synopsis : Alexandre Taillard de Worms est grand, magnifique, un homme plein de panache qui plait aux femmes et est accessoirement ministre des Affaires Étrangères du pays des Lumières : la France. Sa crinière argentée posée sur son corps d’athlète légèrement halé est partout, de la tribune des Nations Unies à New-York jusque dans la poudrière de l’Oubanga. Là, il y apostrophe les puissants et invoque les plus grands esprits afin de ramener la paix, calmer les nerveux de la gâchette et justifier son aura de futur prix Nobel de la paix cosmique. Alexandre Taillard de Vorms est un esprit puissant, guerroyant avec l’appui de la Sainte Trinité des concepts diplomatiques : légitimité, lucidité et efficacité. Il y pourfend les néoconservateurs américains, les russes corrompus et les chinois cupides. Le monde a beau ne pas mériter la grandeur d’âme de la France, son art se sent à l’étroit enfermé dans l’hexagone. Le jeune Arthur Vlaminck, jeune diplômé de l’ENA, est embauché en tant que chargé du “langage” au ministère des Affaires Étrangères. En clair, il doit écrire les discours du ministre ! Mais encore faut-il apprendre à composer avec la susceptibilité et l’entourage du prince, se faire une place entre le directeur de cabinet et les conseillers qui gravitent dans un Quai d’Orsay où le stress, l’ambition et les coups fourrés ne sont pas rares... Alors qu’il entrevoit le destin du monde, il est menacé par l’inertie des technocrates.

Nous vous proposons donc de gagner 5x2 places pour aller voir Quai d'Orsay. Pour participer, rien de plus simple, il vous suffit de répondre aux 2 questions suivantes dans un commentaire sous l'article :  

Question 1 : Le personnage de Thierry Lhermitte est Ministre de quel département ?

Question 2 : Comment s'appelle le jeune diplômé qui rejoint les équipes d'Alexandre Taillard de Worms en tant que chargé du “langage” ?

Vous avez jusqu'au vendredi 8 novembre 2013 minuit pour jouer, nous ferons ensuite un tirage au sort et contacterons les gagnants ! * Limité à la France Métropolitaine // ** N'oubliez pas que les réponses peuvent se trouver dans cet article // *** Indiquez bien une adresse mail valide dans le formulaire du commentaire afin que nous puissions vous contacter si vous êtes l'un des grands gagnants.

[BONUS] Multipliez par 2 vos chances de gagner au tirage au sort en likant notre page Facebook (ci dessous)... puis en indiquant vos pseudos (twitter et/ou facebook) dans votre commentaire afin qu'on vous reconnaisse !

 

Spécial Halloween : comment rester en vie dans un film d'horreur

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Halloween approchant à grands pas, nous avons eu envie de vous donner de précieux conseils pour éviter de vous faire trucider pendant cette période où démons, fantômes, tueurs en série et autres joyeux lurons se baladent dans vos rues, dans l'hypothèse où vous seriez dans un film d'horreur.

- Conseil n°1 : Ne partez pas en vacances dans un endroit complètement coupé du monde où il fait nuit à 14h.

- Conseil n°2 : Si vous vous rendez compte qu'il y a quelqu'un ou quelque chose qui veut vous dézinguer, restez en groupe ! Ne faites pas 5 groupes de 1, c'est complètement con.

- Conseil n°3 : Quand un marmot vous dit qu'il voit des trucs étranges, croyez-le.

- Conseil n°4 : Si vous décidez de ne pas suivre le conseil n°1, prenez un téléphone par satellite avec vous et n'oubliez pas l'indispensable batterie en plus.

- Conseil n°5 : S'il y a dans votre ville un scientifique un peu taré ou un vieil alcoolique un peu fou, écoutez-les, ils peuvent avoir des infos intéressantes.

- Conseil n°5 : Ne vous droguez pas, ne fumez pas, ne buvez pas, ne faites pas l'amour, ne soyez pas noir, ne soyez pas blonde.

- Conseil n°6 : Evitez les cimetières et autres lieux associés à la mort.

- Conseil n°7 : Ne vous amusez pas à faire des séances de spiritisme. A tous les coups, vous réussirez.

- Conseil n°8 : Si vous entendez le sol craquer et autres bruits étranges, ce n'est pas à cause de votre chat ou parce qu'il y a du vent. C'est bien la chose qui est après vous. Donc fuyez. Et n'allez surtout pas vers la source du bruit comme les boulets que vous êtes. Vous n'êtes pas Dora l'exploratrice.

Spécial Halloween : comment rester en vie dans un film d'horreur

- Conseil n°9 : Acceptez l'idée que personne ne pourra vous aider, surtout pas la police.

- Conseil n°10 : Si votre meilleur pote ou votre petite copine se fait mordre par un zombie, n'attendez pas 3h pour lui exploser la tronche.

- Conseil n°11 : Ne dites jamais "Je reviens tout de suite". Vous ne reviendrez pas.

- Conseil n°12 : N'oubliez pas que Dieu ne vous viendra pas en aide.

- Conseil n°13 : Ne laissez JAMAIS le méchant pour mort, c'est le meilleur moyen pour qu'il se relève. Si vous avez le dessus, atomisez-le comme il faut avant de penser à vous barrer.

- Conseil n°14 : Si c'est vous le tueur depuis le début, ne vous lancez pas dans un discours de 2h si vous êtes démasqué. Cela laisserait le temps aux gentils de trouver quelque chose pour vous arrêter.

- Conseil n°15 : Si vous découvrez que votre maison a été le lieu d'un meurtre horrible, ou qu'elle est construite sur un cimetière indien, déménagez. 

- Conseil n°16 : Ne lisez pas des incantations démoniaques, même pour rigoler ou pour impressionner vos potes grâce à votre maîtrise de langues anciennes. 

- Conseil n°17 : Prévoyez de l'essence, des batteries et de l'huile en plus pour votre voiture quand elle tombera en panne. Car elle tombera en panne.

- Conseil n°18 : Regardez toujours le siège arrière de votre voiture.

- Conseil n°19 : Si une porte s'ouvre toute seule, ne demandez pas "Roger, Roger c'est toi ?". C'est pas Roger, c'est le tueur. Barrez-vous.

- Conseil n°20 : N'ayez pas de pitié.

- Conseil n°21 : Si un de vos proches arrive à tourner la tête à 360° ou plus, appelez un prêtre. Ce conseil s'applique si le proche dit "Laisse Jésus te baiser". 

Spécial Halloween : comment rester en vie dans un film d'horreur

- Conseil n°22 : Renseignez-vous un peu sur l'endroit avant de vous installer quelque part. Si vous êtes une famille qui avez connu de nombreuses difficultés et que vous décidez de repartir à zéro dans une nouvelle maison, vous êtes dans la merde.

- Conseil n°23 : Regardez derrière vous, le méchant y est toujours fourré. S'il n'est pas derrière, regardez au-dessus de vous.

- Conseil n°24 : N'allez pas chercher vos potes ou vos animaux disparus.

- Conseil n°25 : Ne prenez pas d'auto-stoppeurs. Surtout au Texas.

- Conseil n°26 : Faites un peu preuve de bon sens nom d'un chien.

- Conseil n°27 : Fuyez comme la peste les endroits déserts. 

- Conseil n°28 : Greniers, garages, sous-sols... c'est non pour vous.

- Conseil n°29 : Si vous entendez une légende urbaine, croyez-la. Si dans le village où vous êtes il se dit que le petit Roger, accablé dès son plus jeune âge par les gamins de son lycée, meurt par accident et qu'il revient désormais chaque nuit pour se venger, c'est probablement Roger qui vous posera problème.

- Conseil n°30 : Ne faites pas chier les gitans, ils pourraient vous maudire.

- Conseil n°31 : Construisez une panic room chez vous.

- Conseil n°32 : Evitez les clowns, les poupées et autres saloperies du genre.

- Conseil n°33 : Ne soyez pas trop drôle ou trop gentil ou trop intelligent. Ne pensez pas trop à vous si vous êtes en groupe mais ne jouez pas au héros pour autant en essayant de sauver tout le monde. 

- Conseil n°34 : Attention aux twists endings.

- Conseil n°35 : Les soirs de pleine lune, plutôt que d'aller boire des godets avec vos amis, restez chez vous devant un bon film (mais pas un film d'horreur !).

- Conseil n°36 : Evitez les endroits remplis de rednecks ou de pécores. Ils voudront probablement vous buter, vous le citadin modèle.

Spécial Halloween : comment rester en vie dans un film d'horreur

- Conseil n°37 : Si votre gosse parle avec une voix inhabituellement grave (et qui plus est dans une langue morte), butez-le.

- Conseil n°38 : Si vous êtes poursuivi par le méchant, attendez-vous à trébucher, surtout si vous êtes une fille.

- Conseil n°39 : Ne vous mettez pas devant un miroir, surtout si c'est pour vous regarder, puis vous baisser, puis vous relever. Quand vous vous relèverez, le méchant sera là.

- Conseil n°40 : Si toutes les horloges de votre maison s'arrêtent toujours à la même heure, ce n'est pas un bug, ce sont des putains de fantômes. Barrez-vous.

- Conseil n°41 : Ne répondez pas au téléphone.

- Conseil n°42 : Si vous voyez un puits au milieu d'une forêt, n'y allez pas. On est au 21ème siècle, l'eau en bouteille ça existe.

- Conseil n°43 : Si vous fuyez en courant, ne regardez pas en arrière, le tueur apparaîtra comme par magie devant vous quand vous vous retournerez. 

- Conseil n°44 : Si vous êtes en camping avec des potes et qu'ils décident tous de faire un bain de minuit dans le lac à l'eau trèèèèès sombre d'à côté, ne les suivez pas.

- Conseil n°45 : Si vous voyez une fille aux cheveux longs cachant son visage, assise sur une chaise à bascule, ne cherchez pas à lui faire la causette. 

- Conseil n°46 : Si vous trouvez des oeufs extraterrestres, combattez l'irrésistible envie de les toucher.

- Conseil n°47 : Ne vous douchez pas.

- Conseil n°50 : Soyez sympa avec les gens pas populaires, timides ou faibles. Surtout si vous êtes au lycée.

[critique] Philomena... touchant !

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1952, Irlande. Philomena, jeune ado, tombe enceinte. Envoyée au couvent de Roscrea où elle ne voit que peu son enfant, ce dernier lui est arraché pour être vendu à des Américains. 50 ans plus tard, elle rencontre Martin Sixmith (Steve Coogan), journaliste désabusé qui vient de se faire licencier d'un prestigieux travail, et qui décide de raconter cette histoire et arrive à convaincre Philomena (Judi Dench) de partir aux Etats-Unis à la recherche de son fils.

[critique] Philomena... touchant !

Une histoire touchante

 

L'interprétation de Steve Coogan et surtout celle de Judi Dench aide beaucoup à créer la dynamique indispensable pour le film du duo Philomena/Martin. On apprend à aimer le couple qu'ils forment avec d'un côté l'homme qui a les pieds sur terre, très critique et cynique et de l'autre la mamie qui est toute naïve mais qui sait faire preuve d'une lucidité incroyable. On suit leur quête avec plaisir, passant du rire aux larmes, avec une seule envie : savoir ce qu'il est advenu d'Anthony, le fils perdu.

Vous ne saurez pas le fin mot de l'histoire ici, mais sachez que la découverte qu'ils feront est très touchante, que la réaction des deux personnages le sera aussi, et qu'on termine le film le coeur plein d'émotions.

La révélation sera aussi l'occasion de mettre en lumière le sujet de la religion, abordé dans tout le film. On voit ses bons côtés comme ses plus mauvais, et chacun réagira de manière différente à celle-ci. Pour ma part j'aurai eu la réaction du personnage de Steve Coogan !

[critique] Philomena... touchant !

Réalisation sobre, acteurs au top

 

En tout cas Judi Dench est brillante. Elégante, elle oscille à merveille entre naïveté de l'enfant et lucidité qui vient avec l'âge. Elle est émouvante, elle est drôle. C'est avec tristesse qu'on apprend peu à peu son histoire, très bien introduite d'ailleurs par le réalisateur Stephen Frears à coup de flashback. Sa vie difficile au couvent, le fait qu'elle ait caché ce secret à tous pendant 50 ans, persuadée que ce qu'elle avait fait jeune était un péché. On ne peut qu'aimer cette femme.

Steve Coogan est lui aussi très bon, loin de ces rôles comiques habituels. Cynique, froid, désabusé après avoir été viré d'un poste haut placé pour une faute qu'il n'a pas commise. Son histoire est aussi très bien introduite, cette fois via les différentes chaînes de télévision britannique qui parle de sa chute en boucle.

Cette sobriété permanente dans la réalisation permet de laisser la place au duo et ainsi de vivre avec eux pleinement leur quête et les différentes émotions qui les traversent. Outre les deux introductions du personnage, le choix du réalisateur de montrer des "films"(vous comprendrez en allant voir le film) est génial et contribue à ce sentiment qu'on a "volé" une partie de la vie de Philomena en lui retirant la possibilité de voir grandir son enfant.

[critique] Philomena... touchant !

Conclusion

 

Un film touchant où l'on passe du rire aux larmes, qui donne un cocktail savoureux d'émotions, porté par des acteurs justes et une réalisation sobre et efficace.

 

Note finale : 7,5/10

[Critique] Mandela : un biopic révolutionnaire !

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Avant de commencer à parcourir cette critique, vous devez savoir 4 choses sur moi :

  • La première c'est que j'ai grandi en Côte d'Ivoire jusqu'à mes 18 ans
  • La seconde est que je suis, de ce fait, très critique envers les films qui touchent à l'Afrique
  • La troisième est que j'ai vécu et quitté la Côte d'Ivoire 2 ans après le début d'une guerre civile qui a continuée ensuite à toucher mes parents et mes amis très proches restés sur place
  • Enfin, la quatrième est qu'en plus d'avoir un profond respect (sûrement comme tout le monde pour Nelson Mandela), j'ai surtout lu sa biographie dont est tiré ce film, ce biopic comme on dit.

J'ai pris ce film "en pleine gueule", plein d'émotions différentes. Certains n'ont pas aimé car trop long, pas assez romancé... Je ne vous dirais qu'une chose importante avant de détailler : allez le voir, faites-vous votre opinion, criez, ragez, pleurez, sourirez, haussez les épaules... mais ressentez ! Car "Mandela : un long chemin vers la liberté", est une affaire de sentiments, tout simplement !

[Critique] Mandela : un biopic révolutionnaire !

Une histoire vraie, un film vrai

Très souvent, voire quasiment toujours, les biopics racontent toujours un passage de la vie d'une personnalité. Et pour plus de drame, de comédie, de "sexy", l'histoire est romancée, des personnages ajoutés ou retirés... Avec la folie des biopics ces dernières années à Hollywood, on a vu du bon et du moins bon, du vrai et du "très adapté pour vendre".

Le biopic de Mandela est une vraie révélation de cinéma car il est authentique ! 

Un producteur sud-africain (Anant Singh), très proche de Nelson Mandela lui-même. Un scénario qui a pris 16 ans à s'écrire. Un film retraçant 70 ans de la vie de l'homme dont 27 ans de prison. Des côtés sombres traités comme les combats permanents et les bonheurs. Le biopic montre les travers et doutes de l'homme, du policitien, du mari, du père, comme ses moments de gloire. 

Rien n'a été enlevé, le scénario colle à la biographie de celui qu'on appelait Madiba. Au delà de l'histoire même de l'homme et de ses combats liés à ceux de son pays, ce biopic est dur mais important pour ne pas oublier que c'était il n'y a pas si longtemps...

[Critique] Mandela : un biopic révolutionnaire !

Des acteurs habités par leurs rôles

Nul doute que Idris Elba, l'acteur incarnant Nelson Mandela, signe un des rôles les plus marquants de sa carrière et que désormais, un long tapis rouge s'ouvre devant lui. Ce ne serait pas étonnant qu'il remporte de nombreux prix à venir pour sa prestation extraordinnaire de Madiba !

Incarné, habité, rageant, vivant, expressif au plus haut point, Idris nous fait ressentir chaque émotion fois dix.


Lorsqu'il interprète un Mandela passionné au début de sa carrière et un mari infidèle, on se sent porté par son enthousiasme. 
Quand il est amoureux de sa nouvelle femme et qu'il se fait "injustement" incarcerer, on rage avec lui. 
Quand il survit en prison, dans quelques petits mètres carrés et subit les pires humiliations, on pleure avec lui. 
Quand il sort de prison et lutte contre les idées de vengeance de sa femme et de son peuple, on angoisse avec lui. 
Enfin, quand il est élu Président avec des plans séquences superbes dans la lumière, on se surprend à vouloir applaudir et à se lever comme si ce dénouement était une révélation, parce qu'on est DEDANS !

[Critique] Mandela : un biopic révolutionnaire !

Mais le biopic de Mandela n'est pas l'affaire d'un seul acteur, contrairement à ce qu'on pourrait croire. Naomie Harris, qui incarne sa femme Winnie Mandela est dévorante ! Naomie a dû interpréter celle qui est tombée en admiration devant l'homme politique, en amour pour l'homme et qui a fini par s'opposer à lui, rongée par l'envie de vengeance de son peuple. Ce qui donne lieu à des scènes saisissantes, poignantes, hurlantes de vérité ! Je n'ai pas d'autre mot... 

C'est pour cela que nos sentiments sont tiraillés et exacerbés dans ce film, car on se range aussi facilement du côté de Mandela que de sa femme maltraitée par les militaires pendant l'emprisonnement de son mari. On déborde d'envie de brûler des têtes comme de pardonner pour avancer. Le résultat de deux prestations exceptionnelles !

[Critique] Mandela : un biopic révolutionnaire !

3 "détails" qui font du film un vrai classique

> La réalisationJustin Chadwick n'est pas connu pour sa longue carrière de réalisateur. Mis à part un film ("Deux soeurs pour un roi"), il n'a d'ailleurs rien signé d'exceptionnel jusque là. Mais ça va désormais changer... "Mandela" était très difficile à réaliser car on traverse plusieurs époques de la vie d'un pays, d'un homme et de sa famille. Des débuts très passionnés, puis plus calme avec la prison, entre-coupés de violences avec sa femme et le pays, de longueurs parfois pénibles mais nécessaires, de sentiments de liberté... Il a su etre dynamique quand il le fallait, lent quand c'était indispensable, faire des ralentis et des floutages sur les combats... Une très bonne réalisation qui permet au scénario de se réveler pleinement sans les projecteurs habituels hollywoodiens.

> Les discours et répliques : certaines devenues désormais cultes, entièrement tirées des phrases de Nelson Mandela, les zooms et l'absence de musique font clairement ressortir ces mots et augmentent l'intensité de leur sens, du combat. Ainsi on demande à Idris Elba/Mandela : "Mister Mandela, what do you personnaly want ?" et qu'il répond "I want freedom", un long frisson vous traverse !

> La bande originale : mis à part quelques chants africains et la chanson "Ordinary Love" de U2, la musique accompagne simplement les scènes du film, avec une ambiance très dynamique et très "thriller". J'aurais aimé un peu plus d'intensité mais je préfère une BO un peu plus neutre avec 1 à 2 bons titres plutôt qu'une mauvaise BO ;)

[Critique] Mandela : un biopic révolutionnaire !

Je pourrais vous dire encore de nombreuses choses sur ce film : pourquoi il est important de le voir en Version Originale pour apprécier le travail des acteurs sur les accents sud-africains et sur les discours de Mandela, pourquoi même le fait qu'on connaisse déjà la finalité et l'histoire, ça marche quand même, pourquoi la longueur n'est pas un problème etc... mais encore une fois, je n'aurais qu'un conseil : foncez le voir !

 

Note finale : 9,5/10

50 raisons d'aimer Brad Pitt

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Brad Pitt fête aujourd'hui son 50ème anniversaire ! Le bougre aurait pu avoir 20 ans, cela m'aurait facilité la tâche. Voici donc 50 raisons d'aimer cet acteur en or. Pourquoi 50 ? Je vous laisse réfléchir.

50 raisons d'aimer Brad Pitt

Raison 1 : Il est brillant dans Snatch avec son accent incompréhensible et ses coups de poing d'une rare force.

Raison 2 : Il a produit les deux Kick-Ass.

Raison 3 : Il fait une formidable apparition dans Friends.

Raison 4 : Il a été impliqué dans la construction de 150 nouvelles maisons en 2006 à la Nouvelle-Orléans après Katrina.

Raison 5 : Il est un des rares acteurs du cinéma à avoir interprété correctement un vampire. C'était dans Entretien avec un vampire.

Raison 6 : Il a été homme-poulet pour l'enseigne de fast food "El Pollo Loco".

Raison 7 : Il mange tout le temps dans ses films. Preuve ici

Raison 8 : Il est sorti avec la déesse Gwyneth Paltrow.

Raison 9 : Il incarne avec génie un leader fou d'un groupe terroriste/voleur de savon dans Fight Club.

Raison 10 : Il maîtrise l'art du Yodel.

Raison 11 : Il a produit l'excellent Les Inflitrés.

Raison 12 : Il aime la France et possède un vignoble.

Raison 13 : Il met, avec sa femme Angelina Jolie, sa célébrité au service de bonnes causes.

Raison 14 : Il se lève tôt tous les matins pour petit-déj avec ses enfants.

Raison 15 : Il nous fait voyager et réfléchir dans 7 ans au Tibet. Ce qui lui vaut d'être, encore à ce jour, interdit d'aller en Chine.

Raison 16 : Il a passé toute une journée dans un service psychiatrique pour préparer son rôle dans l'Armée des 12 singes.

Raison 17 : Les strip-teaseuses lui ont changé la vie. C'est en effet lors d'un job où il conduisait ces demoiselles et il accompagna l'une d'entre elles à son cours d'acting. Vous connaissez la suite.

Raison 18 : Il a été rejeté d'une équipe de baseball à l'âge de 14 ans et a donc décidé de former une autre équipe, les Cherokee Rejects, avec d'autres rejetés. Ils gagnèrent un trophée.

Raison 19 : Il est sorti avec Christina Applegate, Kelly dans l'excellente série Mariés, deux enfants.

Raison 20 : Il est parfait en loser en survet, coach d'un club de remise en forme dans Burn after reading

Raison 21 : Sur le tournage de Troie, il avait l'habitude de transformer sa caravane/loge en bar et accueillait toutes les équipes qui travaillaient sur le film.

Raison 22 : Il possède une cascade.

Raison 23 : Il est incroyable dans Se7en, nous laissant tous bouche bée avec la fameuse scène de fin.

Raison 24 : C'est un cousin très éloigné de Barack Obama via Edwin Hickman, mort en 1769.

Raison 25 : Il a fait une pub pour de la bière.

Raison 26 : Il nous fait voir la mort d'une autre façon dans Rencontre avec Joe Black.

Raison 27 : Il a une licence de pilote.

Raison 28 : Il joua dans Dallas.

Raison 29 : Il parle Japonais.

Raison 30 : Fan de Jackass, il a participé à une scène avec l'équipe de Steve-O.

50 raisons d'aimer Brad Pitt

Raison 31 : Il arrive à sauver le film Troie du néant total avec la scène de combat contre Hector.

Raison 32 : Il parle merveilleusement bien italien dans Inglourious Basterds.

Raison 33 : Il donne sa voix à Metro-Man dans Megamind.

Raison 34 : Il est un des hommes les plus sexy de la planète selon le magazine Empire.

Raison 35 : Il refusa un rôle dans Apollo 13 pour prendre celui dans Se7en.

Raison 36 : Il s'entraîna à la pêche à la mouche pour son film Et au milieu coule une rivière sur les toits des buildings d'Hollywood.

Raison 37 : Il se foula le tendon sur le tournage de Troie, où il joue Achille.

Raison 38 : Il était surnommé "Pitt-bull" au lycée.

Raison 39 : Il rencontra Jennifer Anniston à un rendez-vous arrangé par son agent.

Raison 40 : Il a une belle barbe.

50 raisons d'aimer Brad Pitt

Raison 41 : Il est plein de malice et de charme dans Ocean's Eleven, Twelve et Thirteen.

Raison 42 : Il joue de la guitare.

Raison 43 : Il est pote avec Clint Eastwood.

Raison 44 : Il a dit de Tarantino que c'était un dieu.

Raison 45 : Il est touchant dans Benjamin Button.

Raison 46 : Il a dit que la célébrité c'était un peu comme être une jolie fille qui passait devant des ouvriers du bâtiment.

Raison 47 : Il fait le tour du monde en 2h dans World War Z.

Raison 48 : Il m'a fait baver lors de son discours dans le film Inglourious Basterds.

Raison 49 : Il écrit des poèmes.

Raison 50 : Il est suffisamment important pour que je me fasse chier à trouver 50 raisons de l'aimer.

Le "Spell Block Tango" de Chicago par les méchants de Disney

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SUPERBE ! Vous connaissez sûrement la plus célèbre scène de la comédie musicale / du film Chicago : le "Cell Block Tango" par les tueuses. Un tango sexy chanté par les femmes criminelles de la prison, qui confessent leurs crimes. La scène originelle est déjà géniale en soi, mais quand les méchants de Disney se le réapproprient avec leurs paroles, leurs costumes, et un nouveau titre "Spell", c'est un régal !

Parodie créée par Todrick Hall, un finaliste de l'émission TV American Idol, qui incarne Scar du Roi Lion. Vous pourrez aussi reconnaître Cruella des 101 Dalmatiens, la Reine de Coeur d'Alice au pays des merveilles, la Reine de la Belle au bois dormant, la Reine (l'autre) de Blanche Neige et Ursulla de la Petite Sirène !


Les princesses Disney très sexy en lingerie !

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C'est bientôt Noël, alors on voulait vous faire un petit cadeau... Si si, ça nous fait plaisir ;-) Les célèbres princesses Disney ont bien changé et adieu l'innocence de vos dessins animés d'enfance quand vous aurez vu ça... Vous pouvez aussi dire merci à la dessinatrice mexicaine Biiani qui a illustré les princesses et héroïnes Disney en lingerie revisitée... Le fantasme de certains !

Cendrillon, Blanche-Neige, la Petite Sirène, Mulan, Jasmine etc... Quelle est votre préférée ? Allez, soyez pas timides !

Les princesses Disney très sexy en lingerie !
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[critique] Yves Saint Laurent

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Depuis que mes proches ont découvert mon incroyable ressemblance avec Yves Saint Laurent je n'attendais qu'une chose : voir les aventures de mon sosie portées sur le grand écran. C'est chose faite et je n'ai même pas pu aller à la projection ! Heureusement, tel un héros de la Terre du Milieu, aussi brave (mais moins chevelu) qu'Aragorn, Mathieu se proposa pour me remplacer et nous faire profiter de sa belle plume.

[critique] Yves Saint Laurent

Effet de mode ou vraie nécessité d'explorer notre passé proche, le cinéma français n'est plus timide face aux grands personnages du siècle dernier. Et si Claude François et autres Edith Piaf ont pu livrer des fresques centrées autour de figures reconnus, ce nouveau film de Jalil Lespert n'est pas en reste, entre splendide reconstitution et duo d'acteurs au sommet.


On arrive un peu vierge face à cette biographie du géant de la mode, dont on ne sait finalement pas grand-chose hormis sa "griffe" et un nom. D'une vie, Lespert et ses co-scénaristes livrent le coeur même du sujet, les vingt années d'une ascension accompagnée par son ami, amant et mentor Pierre Bergé. Servi par deux acteurs d'exception (un Pierre Niney appelé à être l'un des acteurs clés de la nouvelle génération du cinéma, un Guillaume Galienne parfait), Yves Saint Laurent explore les succès et chutes de la maison du même nom, autour de ses figures emblématiques (et des seconds rôles, notamment une lumineuse Charlotte Le Bon), à l'aube des années 60 et 70, entre tensions sociales et vie de luxe tourmentée.

[critique] Yves Saint Laurent

La vraie force du film est de ne pas s'évaporer et trop raconter. On reste concentré sur les deux hommes importants de l'histoire (l'un n'allant finalement pas sans l'autre), et si Lespert renforce son film avec une musique omniprésente, lyrique, et de nombreux artifices de montage, c'est pour mieux habiller un film déjà très fourni. Quelques excès visuels peu dommageables pour un long métrage qui sait contenir ses ambitions sans diminuer l'intensité du récit.

Yves Saint Laurent, premier film de l'année sur ce grand monsieur, démontre de nombreuses qualités, à commencer par un scénario réfléchi, des comédiens de talent et un réalisateur lucide à la barre. Une bonne formule pour commencer l'année 2014 avec le cinéma français, et découvrir une figure emblématique de la société française du XXe.
 

Note finale : 7/10

Les princesses Disney version Star Wars

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On s'est dit qu'en ces temps difficiles, il fallait bien que la force soit avec nous ! Alors pour vous préparer à la nouvelle année 2014, on a fait appel à des novices que l'on prend souvent pour des minettes mais qui en ont sous le capot ! Elles ont été entraînées avec originalité par l'illustrateur Ralph Sevelius dans la pure tradition Star Wars ;-)

Mesdames et messieurs, je vous présente vos coachs, les princesses Disney :

> Blanche Neige en seigneur Sith
> Ariel la petite sirène en Jedi
> Raiponce en Padawan
> Aurore la belle au bois dormant figée dans la Carbonite
> Jasmine en esclave
> Mulan en chasseuse
> Elsa la reine des neiges en s
eigneur Sith

Les princesses Disney version Star Wars
Les princesses Disney version Star Wars
Les princesses Disney version Star Wars
Les princesses Disney version Star Wars
Les princesses Disney version Star Wars
Les princesses Disney version Star Wars
Les princesses Disney version Star Wars

[concours] 5x2 places à gagner pour le vent se lève

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Prochain film du génie de l'animation Hayao Miyazaki, le film s'intéressera aux avions sous fond de romance et d'événements historiques majeurs de l'époque. Il s'agira du dernier film du réalisateur puisqu'il a annoncé qu'il prendrait sa retraire après. Un film à ne pas rater donc !

[concours] 5x2 places à gagner pour le vent se lève

Synopsis : Inspiré par le fameux concepteur d’avions Giovanni Caproni, Jiro rêve de voler et de dessiner de magnifiques avions. Mais sa mauvaise vue l’empêche de devenir pilote, et il se fait engager dans le département aéronautique d’une importante entreprise d’ingénierie en 1927. Son génie l’impose rapidement comme l’un des plus grands ingénieurs du monde. Le Vent se lève raconte une grande partie de sa vie et dépeint les événements historiques clés qui ont profondément influencé le cours de son existence, dont le séisme de Kanto en 1923, la Grande Dépression, l’épidémie de tuberculose et l’entrée en guerre du Japon. Jiro connaîtra l’amour avec Nahoko et l’amitié avec son collègue Honjo. Inventeur extraordinaire, il fera entrer l’aviation dans une ère nouvelle.

            © 2013 Nibariki – GNDHDDTK

On vous propose de gagner 5x2 places pour aller voir Le vent se lève qui sort le 22 janvier au cinéma.

Pour participer, rien de plus simple, il vous suffit de répondre aux 3 questions suivantes dans un commentaire sous l'article :

Question 1 :  Comment se nomme le héros ? 

Question 2 :  Qui a composé la musique du film ? 

Question 3 : Qui est le réalisateur du film ?

 

Vous avez jusqu'au dimanche 12 janvier 2014 minuit pour jouer, nous ferons ensuite un tirage au sort et contacterons les gagnants ! * Limité à la France Métropolitaine // ** N'oubliez pas que les réponses peuvent se trouver dans cet article // *** Indiquez bien une adresse mail valide dans le formulaire du commentaire afin que nous puissions vous contacter si vous êtes l'un des grands gagnants.

[BONUS] Multipliez par 2 vos chances de gagner au tirage au sort en likant la page Justcinema (www.facebook.com/Justcinema)... puis en indiquant vos pseudos (twitter et/ou facebook) dans votre commentaire afin qu'on vous reconnaisse !

 

[critique] 12 Years a slave

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3ème film du réalisateur Steve McQueen (II), 12 Years a Slave prouve une fois de plus le talent du metteur en scène.

Après un film sur l'addiction sexuelle et un sur les prisonniers politiques, McQueen choisit de parler de l'esclavage. On peut dire qu'il aime les sujets difficiles ! En même temps, ça lui réussit.

[critique] 12 Years a slave

Un peu d'originalité pour un thème classique

 

L'esclavage a été largement traité au cinéma. Le sujet de l'enlèvement de noirs libres est plus rare. C'est cet angle que le réalisateur a choisi d'adopter et c'est une excellente idée. Le personnage principal, Solomon Northup (Chiwetel Ejiofor) sait lire, est éduqué, a du talent pour la musique. C'est horrible de voir des esclaves, quelques soit leurs origines, mais en choisissant un personnage comme lui, le sentiment d'injustice est encore plus fort. Cela montre à quel point les blancs racistes considèrent leurs esclaves comme des objets, des animaux sans conscience. C'est d'ailleurs une des difficultés qu'a Solomon : faire semblant d'être un ignare pour ne pas s'attirer de problèmes. L'enjeu dramatique est donc fort, on est révolté de voir ce personnage vouloir bien faire les choses, voire mieux faire les choses que ses maîtres, mais se faire battre car il ne respecte pas les consignes données (qui sont stupides). En parlant de ça on a l'occasion de voir Paul Dano dans un rôle qu'il maîtrise à merveille : le salopard avec une tête à claque qu'on a envie de buter. 

L'éducation de Solomon permet aussi de montrer qu'il y a en fait deux groupes d'esclaves : ceux qui sont un peu éduqués et qui veulent se battre pour leur liberté et ceux qui sont totalement sous le joug de leur maître, car ils arrivent à penser qu'ils sont vraiment inférieurs à eux à cause de leur manque d'éducation.

[critique] 12 Years a slave

Une réalisation sans faute

 

Avec des plans très fixes qui nous permettent de bien profiter des scènes, des émotions, du jeu des acteurs, le film est saisissant de réalisme. Le spectateur n'est pas épargné et voit des pendaisons, des coups de fouet mais aussi de magnifiques plans de paysages du sud-américain et de champs de coton qui apportent une certaine touche de poésie et qui contraste fortement avec l'action ambiante.

Les acteurs sont très bien dirigés et jouent tous très bien. Michael Fassbender, éternel partenaire du réalisateur, est un esclavagiste sans pitié, Benedict Cumberbatch est un homme éduqué, fin qui respecte ses esclaves, Brad Pitt est génial en abolitionniste avec son look hippie avant l'heure. Chiwetel Ejiofor, qui a fait pas mal de navets, est très bon dans le rôle principal. Il faut avouer que jouer pour McQueen doit être difficile car il aime les plans longs et fixes (comme dit plus haut), l'acteur doit donc garder l'intensité de son jeu pendant un certain temps tout en variant ses émotions. Et Chiwetel s'en sort très bien ! Enfin, il faut mentionner la très charismatique Lupita Nyong'o, qui interprète aussi une esclave admirablement alors qu'elle était totalement inconnue au bataillon avant le film.

Les décors, en nature et en ville, sont exceptionnels et cela permet de rendre le film très beau et poétique malgré l'horreur de ce qui nous est raconté à l'écran. 

[critique] 12 Years a slave

Conclusion

 

Un film poignant, porté par des acteurs et une réalisation exemplaires, qui montre que changer les mentalités est un combat difficile mais qu'il ne faut jamais perdre espoir.

 

Note finale : 8/10

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